Good vibes. C’est d’un accent anglicisé qui définit ses ‘’Bonnes vibrations’’ que Ted (plus connu David Tayorault) baptise son nouvel album. David Tayorault devenu ‘’Ted’’, l’artiste compose les initiales de son nom (Tayorault Edson David) pour présenter une même personne.
Pour retrouver dans ‘’Good vibes’’ – une œuvre de quatorze (14) titres, diverses sensibilités, Ted, avec ‘’humilité’’, selon ses termes, s’est fait coacher par O’nel Mala (artiste-musicien) et bien d’autres noms. Celui que beaucoup nomme le maître s’est fait élève. Dans sa conception, a expliqué Ted, «Good vibes est une ouverture sur le marché international». Afrobeat, soul, jazz, rumba, youssoumba, zouk, folk sont des vibrations que partage l’artiste qui entend, avec Good vibes, «conquérir le monde». Dans ce nouvel album où Ted adapte à sa musique ‘’An Boè’’ de Chino Rem’s, les guitares de Mathieu Nanguy et Effi Armand (basse) font lien avec un style jazz (joué par Nanguy) parfois fredonné par Ted et une ambiance folk. Avec Mathieu Nanguy, professeur de musique, Ted joue depuis une vingtaine d’années. Quand Armand a été avec (Ted), David Tayorault membre des Woya avant qu’il ne soit le chef d’orchestre du second (Ted).
S’il appelle à ne pas perdre la foi, c’est d’une voix religieuse qu’il chante ‘’Faut pas douter’’ et invoque le Seigneur, sa ‘’forteresse’’. A la religion, Ted ajoute avec une singulière volonté le thème de l’Amour qu’il veut avec grand A. Love story, Juste t’aimer, Aime ton prochain, etc. Y sont consacrés.
Artiste-musicien, chanteur, arrangeur, Ted dont le métier influe sur ses enfants, intègre dans ‘’Aime ton prochain’’ la voix enfant de Tayorault Chris-David ‘’Kukuly’’, son fils.
Quand Ted invite à la danse, c’est avec une personnelle implication dans sa réalisation. Ce qui donne une rythmique souhaitée et arrangée par lui. ‘’Africa Hey’’ au son de folk et d’afrobeat et de talking drum est – comme My Baby é, Tout le monde bouger, Pas connais danser – une invitation à la danse. Convaincu de ce qu’il réalise, Ted chante «Tu veux, tu ne veux pas, tu vas danser…»
Good vibes est un album qui a été réalisé entre Abidjan (studio Muzikolor), Paris et Douala (Cameroun). Et succède à samouraï Groove, son dernier album.
Koné Saydoo
Pour retrouver dans ‘’Good vibes’’ – une œuvre de quatorze (14) titres, diverses sensibilités, Ted, avec ‘’humilité’’, selon ses termes, s’est fait coacher par O’nel Mala (artiste-musicien) et bien d’autres noms. Celui que beaucoup nomme le maître s’est fait élève. Dans sa conception, a expliqué Ted, «Good vibes est une ouverture sur le marché international». Afrobeat, soul, jazz, rumba, youssoumba, zouk, folk sont des vibrations que partage l’artiste qui entend, avec Good vibes, «conquérir le monde». Dans ce nouvel album où Ted adapte à sa musique ‘’An Boè’’ de Chino Rem’s, les guitares de Mathieu Nanguy et Effi Armand (basse) font lien avec un style jazz (joué par Nanguy) parfois fredonné par Ted et une ambiance folk. Avec Mathieu Nanguy, professeur de musique, Ted joue depuis une vingtaine d’années. Quand Armand a été avec (Ted), David Tayorault membre des Woya avant qu’il ne soit le chef d’orchestre du second (Ted).
S’il appelle à ne pas perdre la foi, c’est d’une voix religieuse qu’il chante ‘’Faut pas douter’’ et invoque le Seigneur, sa ‘’forteresse’’. A la religion, Ted ajoute avec une singulière volonté le thème de l’Amour qu’il veut avec grand A. Love story, Juste t’aimer, Aime ton prochain, etc. Y sont consacrés.
Artiste-musicien, chanteur, arrangeur, Ted dont le métier influe sur ses enfants, intègre dans ‘’Aime ton prochain’’ la voix enfant de Tayorault Chris-David ‘’Kukuly’’, son fils.
Quand Ted invite à la danse, c’est avec une personnelle implication dans sa réalisation. Ce qui donne une rythmique souhaitée et arrangée par lui. ‘’Africa Hey’’ au son de folk et d’afrobeat et de talking drum est – comme My Baby é, Tout le monde bouger, Pas connais danser – une invitation à la danse. Convaincu de ce qu’il réalise, Ted chante «Tu veux, tu ne veux pas, tu vas danser…»
Good vibes est un album qui a été réalisé entre Abidjan (studio Muzikolor), Paris et Douala (Cameroun). Et succède à samouraï Groove, son dernier album.
Koné Saydoo
