Kipré Nina, Goualy Rachelle et Lago Flavienne, les danseuses de la compagnie Tchétché ont participé le 11 avril au Festad’ Africa Festival à Rome, en Italie. Sur la scène du Teatro Palladium de l’Universitá Romantre, elles ont présenté ‘’Esprit’’, leur dernière création. Ce voyage à Rome a été facilité par le ministère de la Culture et de la Francophonie dont la délégation a été conduite par Mme Diaby et permet à la compagnie de renouer avec les grands rendez-vous.
De retour à Abidjan depuis le 15 avril, Camara Abdel Marc, l’administrateur de la compagnie rencontré 48 heures après, n’a pas manqué de saluer la disponibilité et la «grande culture» de Tagliante Sarassino, ambassadrice de la Côte d’Ivoire en Italie «qui a pratiquement tout laisser pour s’occuper des artistes».
‘’Esprit’’, créé il y a huit (8) mois, a été déjà joué au Festival Urban Art, en 2012, au Goethe Institut à Abidjan et aux Rencontres internationales des arts et de la culture d’Adzopé, la même année. ‘’Esprit’’ aborde le thème de la reconstruction et de la continuité et donne, explique Camara, «le courage aux jeunes de ne pas baisser les bras». Une création dans laquelle, les danseurs mettent les pieds dans la tradition. «En Afrique, quand on a tout perdu, on fait recours aux sources. On a donc fait appel, dans Esprit, à la tradition pour surmonter les difficultés, rebondir et continuer le travail», explique Camara Abdel Marc qui n’exclut pas que cette création rappelle également les difficultés de la compagnie Tchétché. Surtout après le décès de Béatrice Kombé dite Betty, fondatrice avec Bridji Lebry Jeety de la compagnie le 1er juin 1997. Une page sombre dans la vie de la compagnie. «Nous nous servons du passé pour avancer et nous projetons dans le futur. Il faut que la compagnie vive. Pour l’instant, Tchécthé amorce son redécollage», se réjouit-il.
Dimi (douleur, en malinké), Son repère, Source, Nagtaba sont les créations, avant ‘’Esprit’’, de la compagnie Tchécthé qui a glané plusieurs récompenses dont le prix Rfi de spectacle vivant en 1999, prix Unesco au Marché des arts et du spectacle d’Abidjan (1999), 2è prix des rencontres chorégraphiques de Madagascar, 2è prix du concours international des danses contemporaines à Hanovre (2000).
Koné Saydoo
De retour à Abidjan depuis le 15 avril, Camara Abdel Marc, l’administrateur de la compagnie rencontré 48 heures après, n’a pas manqué de saluer la disponibilité et la «grande culture» de Tagliante Sarassino, ambassadrice de la Côte d’Ivoire en Italie «qui a pratiquement tout laisser pour s’occuper des artistes».
‘’Esprit’’, créé il y a huit (8) mois, a été déjà joué au Festival Urban Art, en 2012, au Goethe Institut à Abidjan et aux Rencontres internationales des arts et de la culture d’Adzopé, la même année. ‘’Esprit’’ aborde le thème de la reconstruction et de la continuité et donne, explique Camara, «le courage aux jeunes de ne pas baisser les bras». Une création dans laquelle, les danseurs mettent les pieds dans la tradition. «En Afrique, quand on a tout perdu, on fait recours aux sources. On a donc fait appel, dans Esprit, à la tradition pour surmonter les difficultés, rebondir et continuer le travail», explique Camara Abdel Marc qui n’exclut pas que cette création rappelle également les difficultés de la compagnie Tchétché. Surtout après le décès de Béatrice Kombé dite Betty, fondatrice avec Bridji Lebry Jeety de la compagnie le 1er juin 1997. Une page sombre dans la vie de la compagnie. «Nous nous servons du passé pour avancer et nous projetons dans le futur. Il faut que la compagnie vive. Pour l’instant, Tchécthé amorce son redécollage», se réjouit-il.
Dimi (douleur, en malinké), Son repère, Source, Nagtaba sont les créations, avant ‘’Esprit’’, de la compagnie Tchécthé qui a glané plusieurs récompenses dont le prix Rfi de spectacle vivant en 1999, prix Unesco au Marché des arts et du spectacle d’Abidjan (1999), 2è prix des rencontres chorégraphiques de Madagascar, 2è prix du concours international des danses contemporaines à Hanovre (2000).
Koné Saydoo