Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les sanctions de l’Union européenne contre l’ancien Chef de l’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo et des membres de son entourage, ont été validées mardi par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) en réponse aux recours introduits par ces derniers, a-t-on appris le même jour dans la capitale économique ivoirienne.
Ces sanctions sont relatives au gel des avoirs et de l'interdiction de voyager de certains cadres de l'ancien régime ivoirien dont Laurent Gbagbo et le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'guessan ainsi que d'autres cadres de leur bord.
Ils avaient introduit des recours suite aux sanctions de l'UE en invoquant l'existence d'un ‘'cas de force majeur''. Ces arguments ont été rejetés par la Cour de justice de l'Union européenne basée à Luxembourg.
‘' Ces recours ont été introduits trop tardivement pour être pris en compte'', a notamment déclaré la Cour dans son arrêté.
Le refus de Laurent Gbagbo à reconnaître la victoire de son principal rival Alassane Ouattara à l'issue du second tour de la présidentielle du 28 novembre 2010 a conduit à une violente crise post électorale qui a fait plus de 3000 morts.
Des sanctions économiques avaient été prises par les organisations sous régionales et internationales pour obliger M. Gbgabo à céder le pouvoir au vainqueur, Alassane Ouattara.
M. Gbagbo est détenu depuis fin novembre 2011 à la Haye où il attend la confirmation des charges contre lui après une audience organisée au mois de février dernier par la Cour pénale internationale (CPI).
Sur place en Côte d'Ivoire, son épouse Simone Ehivet Gbagbo, son fils Michel Gbagbo et Pascal Affi N'guessan le président de son parti, le FPI, sont détenus dans le Nord du pays.
LS/APA
Ces sanctions sont relatives au gel des avoirs et de l'interdiction de voyager de certains cadres de l'ancien régime ivoirien dont Laurent Gbagbo et le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'guessan ainsi que d'autres cadres de leur bord.
Ils avaient introduit des recours suite aux sanctions de l'UE en invoquant l'existence d'un ‘'cas de force majeur''. Ces arguments ont été rejetés par la Cour de justice de l'Union européenne basée à Luxembourg.
‘' Ces recours ont été introduits trop tardivement pour être pris en compte'', a notamment déclaré la Cour dans son arrêté.
Le refus de Laurent Gbagbo à reconnaître la victoire de son principal rival Alassane Ouattara à l'issue du second tour de la présidentielle du 28 novembre 2010 a conduit à une violente crise post électorale qui a fait plus de 3000 morts.
Des sanctions économiques avaient été prises par les organisations sous régionales et internationales pour obliger M. Gbgabo à céder le pouvoir au vainqueur, Alassane Ouattara.
M. Gbagbo est détenu depuis fin novembre 2011 à la Haye où il attend la confirmation des charges contre lui après une audience organisée au mois de février dernier par la Cour pénale internationale (CPI).
Sur place en Côte d'Ivoire, son épouse Simone Ehivet Gbagbo, son fils Michel Gbagbo et Pascal Affi N'guessan le président de son parti, le FPI, sont détenus dans le Nord du pays.
LS/APA