Gagnoa – Les résultats de l’élection municipale de dimanche pour la commune de Gagnoa sont connus, depuis lundi matin et, officiellement proclamée mardi, donnent une large victoire au candidat du Rassemblement des républicains (RDR), Médji Bamba, le maire intérimaire sortant, élu avec 52,10% des suffrages exprimés.
La liste ‘’Vivre ensemble’’, que conduit Médji Bamba, a enregistré un total de 7955 voix exprimées, créant un écart de 5248 voix entre lui et son poursuivant direct. La liste du RDR est secondée par celle du candidat indépendant, Bamba Mamadou, qui totalise un score de 2707 voix, soit 17, 71% des suffrages exprimés, suivie de celle du candidat indépendant, Djohoré Gbakayoro Abel, en troisième position, avec un suffrage de 2389 voix, soit un taux de 15,36% des suffrages exprimés.
Le candidat du PDCI, Dozo Dayoro, est arrivé en 4ème position avec 1712 voix, soit un taux de 11, 21%, quand le dernier des candidats, l’indépendant Kouba Nazêrey, enregistrait 405 voix, soit 2,65% des suffrages exprimés.
Le vainqueur des municipales à la mairie de Gagnoa a exprimé sa grande joie et celle de toute son équipe de campagne et de son parti le RDR, après une campagne électorale qui fut âpre. Bamba Médji a confié qu’il compte poursuivre les actions qu’il mène depuis deux ans à la tête de la mairie de Gagnoa, et qui lui ont valu le satisfecit à lui adressé par le président Alassane Ouattara, le 4 mars, lors de l'inauguration du nouvel hôpital général de Gagnoa.
Le scrutin a connu un taux de participation de 33,65%, soit 16 496 votants sur 49 011 électeurs inscrits. Mais dès lundi, les résultats ont fait l’objet de contestations de la part de deux candidats, à savoir les candidats indépendants, Bamba Mamadou et Djohoré Abel Gbakayoro, qui ont déposé des requêtes auprès de la CEI, a-t-on appris auprès de leurs staffs de campagne.
Le maire élu, Médji Bamba, fut le maire intérimaire, ayant succédé, en 2011, le maire Roger Gnohité, en exil, au lendemain de la crise postélectorale. La mairie de Gagnoa a été conquise par le RDR en 2000 avec pour tête de liste, Roger Gnohité, qui quitta ce parti pour créer le sien à la suite de malentendus avec la direction de son parti au lendemain du déclenchement de la rébellion de septembre 2002. Cependant la mairie fut gérée avec les conseillers du RDR.
La liste ‘’Vivre ensemble’’, que conduit Médji Bamba, a enregistré un total de 7955 voix exprimées, créant un écart de 5248 voix entre lui et son poursuivant direct. La liste du RDR est secondée par celle du candidat indépendant, Bamba Mamadou, qui totalise un score de 2707 voix, soit 17, 71% des suffrages exprimés, suivie de celle du candidat indépendant, Djohoré Gbakayoro Abel, en troisième position, avec un suffrage de 2389 voix, soit un taux de 15,36% des suffrages exprimés.
Le candidat du PDCI, Dozo Dayoro, est arrivé en 4ème position avec 1712 voix, soit un taux de 11, 21%, quand le dernier des candidats, l’indépendant Kouba Nazêrey, enregistrait 405 voix, soit 2,65% des suffrages exprimés.
Le vainqueur des municipales à la mairie de Gagnoa a exprimé sa grande joie et celle de toute son équipe de campagne et de son parti le RDR, après une campagne électorale qui fut âpre. Bamba Médji a confié qu’il compte poursuivre les actions qu’il mène depuis deux ans à la tête de la mairie de Gagnoa, et qui lui ont valu le satisfecit à lui adressé par le président Alassane Ouattara, le 4 mars, lors de l'inauguration du nouvel hôpital général de Gagnoa.
Le scrutin a connu un taux de participation de 33,65%, soit 16 496 votants sur 49 011 électeurs inscrits. Mais dès lundi, les résultats ont fait l’objet de contestations de la part de deux candidats, à savoir les candidats indépendants, Bamba Mamadou et Djohoré Abel Gbakayoro, qui ont déposé des requêtes auprès de la CEI, a-t-on appris auprès de leurs staffs de campagne.
Le maire élu, Médji Bamba, fut le maire intérimaire, ayant succédé, en 2011, le maire Roger Gnohité, en exil, au lendemain de la crise postélectorale. La mairie de Gagnoa a été conquise par le RDR en 2000 avec pour tête de liste, Roger Gnohité, qui quitta ce parti pour créer le sien à la suite de malentendus avec la direction de son parti au lendemain du déclenchement de la rébellion de septembre 2002. Cependant la mairie fut gérée avec les conseillers du RDR.
