Bouaflé, Des leaders communautaires, notamment des chefs traditionnels et religieux ainsi que des responsables d’associations de jeunes et de femmes ont été formés de jeudi à vendredi sur les réformes en matière de gouvernance judiciaire en Côte d’Ivoire.
Cette initiative de l’ONG "Transparency justice ", en partenariat avec Search for common ground (SFGC) a pour but de lever la barrière judiciaire entre la justice et le justiciable, afin que ce dernier soit satisfait et ne formule plus de récrimination à l’endroit de l’appareil judiciaire.
"La population dit de la justice qu’elle est lourde, inaccessible, en proie à la corruption et fait exposer beaucoup de frais, en raison de la tarification non maitrisée des actes de justice", a reconnu le secrétaire général adjoint de Transparency justice, Ya Desailly Georges.
Il a affirmé que son organisation est consciente de la situation et que le monde judiciaire n’est pas insensible aux récriminations des populations.
Selon Ya Desailly Georges, substitut du procureur au tribunal de première instance de Bouaflé, Transparency justice viendra en aval sur le terrain, après ce séminaire, pour voir si la population a facilement accès à la justice et la considère désormais comme un vecteur essentiel de la cohésion sociale et de réconciliation nationale dans le pays.
Durant deux jours, des communications portant sur le fonctionnement de l’appareil judiciaire en Côte d’Ivoire, l’organisation judiciaire et la décision de justice, la loi portant lutte contre la corruption et les règles et procédures d’accès à la justice ont été présentées par plusieurs conférenciers.
Créée en 2003 par des acteurs du monde de la justice, Transparency justice est une ONG qui œuvre à minimiser les situations de corruption dans l’appareil judiciaire.
L’organisation célébrera bientôt ses dix ans, marqués par la distinction des meilleurs magistrats ivoiriens, reconnus pour leur travail, probité et intégrité morale, a annoncé son secrétaire général adjoint.
(AIP)
Zaar/kp
Cette initiative de l’ONG "Transparency justice ", en partenariat avec Search for common ground (SFGC) a pour but de lever la barrière judiciaire entre la justice et le justiciable, afin que ce dernier soit satisfait et ne formule plus de récrimination à l’endroit de l’appareil judiciaire.
"La population dit de la justice qu’elle est lourde, inaccessible, en proie à la corruption et fait exposer beaucoup de frais, en raison de la tarification non maitrisée des actes de justice", a reconnu le secrétaire général adjoint de Transparency justice, Ya Desailly Georges.
Il a affirmé que son organisation est consciente de la situation et que le monde judiciaire n’est pas insensible aux récriminations des populations.
Selon Ya Desailly Georges, substitut du procureur au tribunal de première instance de Bouaflé, Transparency justice viendra en aval sur le terrain, après ce séminaire, pour voir si la population a facilement accès à la justice et la considère désormais comme un vecteur essentiel de la cohésion sociale et de réconciliation nationale dans le pays.
Durant deux jours, des communications portant sur le fonctionnement de l’appareil judiciaire en Côte d’Ivoire, l’organisation judiciaire et la décision de justice, la loi portant lutte contre la corruption et les règles et procédures d’accès à la justice ont été présentées par plusieurs conférenciers.
Créée en 2003 par des acteurs du monde de la justice, Transparency justice est une ONG qui œuvre à minimiser les situations de corruption dans l’appareil judiciaire.
L’organisation célébrera bientôt ses dix ans, marqués par la distinction des meilleurs magistrats ivoiriens, reconnus pour leur travail, probité et intégrité morale, a annoncé son secrétaire général adjoint.
(AIP)
Zaar/kp