La mise en œuvre du e traité d’amitié entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire a été jeudi, au centre d’une concertation à Bobo-Dioulasso entre les ministres des affaires étrangères des deux pays.
Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé s'est réjoui de l'avancée dans la réalisation de l'autoroute reliant Yamoussokro à Ouagadougou dont les études de faisabilité ont été lancées de part et d'autre.
Les travaux de réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou et son extension dans le cadre de la boucle ferroviaire vont démarrer « incessamment », a-t-il aussi dit.
A cela s'ajoute la coopération énergétique avec l'approvisionnement régulier à hauteur de 50 Mégawatts du réseau burkinabè qui est une réalité depuis un certain moment.
Outre ces aspects, les Assemblées nationales des deux pays ont renforcé leur coopération.
Les deux pays ont aussi décidé de renforcer leur coopération dans les domaines des enseignements secondaire et supérieur, de la culture et de la communication ainsi que le commerce.
« Plus que jamais la communauté de destin entre le Burkina Faso et la République de Côte d'Ivoire nous commande à tous, un engagement sans réserve, pour l'enracinement de notre développement dans un socle défiant tout aléa », a indiqué Djibrill Bassolet.
Son homologue ivoirien, Charles Koffi Diby, a indiqué que « le TAC est la manifestation de la volonté des deux peuples de se rapprocher davantage, de raffermir leurs liens séculaires de fraternité et de bon voisinage et d'assurer une exploitation efficiente et conjointe des énormes potentialités ».
Le TAC a été signé le 29 juillet 2008 entre les présidents burkinabé, Blaise Compaoré et ivoirien d'alors, Laurent Koudou Gbagbo, afin de « promouvoir le bien-être des peuples des deux pays ».
ALK/of/APA
Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé s'est réjoui de l'avancée dans la réalisation de l'autoroute reliant Yamoussokro à Ouagadougou dont les études de faisabilité ont été lancées de part et d'autre.
Les travaux de réhabilitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou et son extension dans le cadre de la boucle ferroviaire vont démarrer « incessamment », a-t-il aussi dit.
A cela s'ajoute la coopération énergétique avec l'approvisionnement régulier à hauteur de 50 Mégawatts du réseau burkinabè qui est une réalité depuis un certain moment.
Outre ces aspects, les Assemblées nationales des deux pays ont renforcé leur coopération.
Les deux pays ont aussi décidé de renforcer leur coopération dans les domaines des enseignements secondaire et supérieur, de la culture et de la communication ainsi que le commerce.
« Plus que jamais la communauté de destin entre le Burkina Faso et la République de Côte d'Ivoire nous commande à tous, un engagement sans réserve, pour l'enracinement de notre développement dans un socle défiant tout aléa », a indiqué Djibrill Bassolet.
Son homologue ivoirien, Charles Koffi Diby, a indiqué que « le TAC est la manifestation de la volonté des deux peuples de se rapprocher davantage, de raffermir leurs liens séculaires de fraternité et de bon voisinage et d'assurer une exploitation efficiente et conjointe des énormes potentialités ».
Le TAC a été signé le 29 juillet 2008 entre les présidents burkinabé, Blaise Compaoré et ivoirien d'alors, Laurent Koudou Gbagbo, afin de « promouvoir le bien-être des peuples des deux pays ».
ALK/of/APA
