Faire de bonnes nuits, réduirait les prédispositions génétiques à prendre du poids. On savait que, bien dormir était nécessaire pour garder la ligne. Une source crédible pointe du doigt aujourd’hui le rôle des gènes dans la prise de poids. Des chercheurs américains ont fait ces observations en collectant des données sur la taille, le poids et le temps de sommeil sur plus d’une centaine de vrais et faux jumeaux dont l’âge varie entre 30 et 37 ans. Ils ont été regroupés en fonction de leur durée de sommeil, sachant que la durée moyenne de sommeil était fixée à sept (7) heures par nuit. Les personnes dormant moins de 7 heures par nuit ont été classées comme petits dormeurs. Les gros dormeurs ont une durée supérieure à neuf(9) heures. Ce qui revient à dire que ceux qui dorment peu, augmentent leur risque génétique d’avoir un Indice de Masse Corporelle (IMC) élevé par rapport à ceux qui dorment suffisamment ou beaucoup. Ces chercheurs ont aussi montré que dormir moins, créait un déséquilibre hormonal en constatant que les petits dormeurs avaient un IMC bien supérieur aux gros dormeurs. Evidemment, les personnes qui dorment peu seraient davantage poussées au grignotage en raison d’une baisse de leur taux d’hormone de satiété. Alors, pour éviter de grossir et même envisager de maigrir en dormant, l’idéal serait de dîner léger en consommant beaucoup de légumes mais peu de protéines entre 19h et 21 heures et laisser un créneau de deux heures au moins entre la fin du repas et le coucher. Ensuite, dormir au moins dix(10) heures pour commencer à maigrir.
Iris Fabiola Yaëlle/TS
Iris Fabiola Yaëlle/TS