Le gala commémoratif du 67ème anniversaire du PDCI-RDA a tenu ses promesses au palais des congrès de l’hôtel Ivoire le mardi 30 avril. Le président du parti, SEM Aimé Henri Konan Bédié était présent, entouré des membres de la haute direction et de nombreux élus qui ont fait honneur à leur parti avec la bonne moisson qui marque la bonne santé du parti qui n’attend que des actes de mobilisation permanente pour se repositionner premier parti de Côte d’Ivoire.
La fête proprement dite a respecté le programme quand les charmantes hôtesses vêtues de leur élégante robe à la couleur du PDCI ont pris position dans les espaces appropriés pour recevoir les invités depuis le hall de l’entrée principale du palais des congrès et les allées qui y conduisent. C’est l’humoriste animateur et acteur de cinéma à ses heures perdues, Bamba Bakary qui a assuré en solo la tâche de maître de cérémonie. La mise en place terminée, il a annoncé le démarrage de la soirée par une prestation de la chorale qui a exécuté la nouvelle hymne du PDCI-RDA sous la direction du circonstanciel maître de chœur, le secrétaire général adjoint chargé des sections, Michel Koffi Benoît. Désormais donc, c’est cette hymne à trois tons que l’on exécutera à toutes les cérémonies du parti. On peut relever de passage que 48 heures avant, le CD a été remis au président Henri Konan Bédié. Après l’ouverture ainsi opérée, le président du comité d’organisation, le secrétaire général adjoint, directeur financier du parti, N’z i Assamoua Désiré a situé l’objet de la célébration avant de laisser la parole au secrétaire général , le professeur Alphonse djédjé Mady qui a fait une dense intervention sans papier pour relater les combats de paix et de liberté du président fondateur, feu Félix Houphouët-Boigny , combats poursuivis par son successeur Henri Konan Bédié. Le secrétaire général du parti a relevé que si l’on parle de coup d’Etat en Côte d’Ivoire sans qu’aucune goutte de sang n’ait été versée, le mérite revient plutôt à Henri Konan Bédié qui s’est plié à l’irruption des armes sans ordonner une quelconque réplique au nom du maintien de la paix et eu égard aux enseignements du père fondateur. Djédjé Mady a aussi relevé que bien souvent, le tort des dirigeants Houphouët-Boigny et Konan Bédié est d’avoir eu raison trop tôt. A la suite et pour clore la série des allocutions, le président Bédié a salué ses collaborateurs et remercié les nombreux invités qui ont pris de leur temps et de leur argent pour donner du volume à la soirée. Signalons qu’on comptait autour du président Bédié, les vices présidents du parti et les présidents PDCI d’institutions républicaines dont Zady Kessi du Conseil Economique et Social et Emmanuel Niamien N’goran de l’inspection générale d’Etat.
Akroman A. Moïse
La fête proprement dite a respecté le programme quand les charmantes hôtesses vêtues de leur élégante robe à la couleur du PDCI ont pris position dans les espaces appropriés pour recevoir les invités depuis le hall de l’entrée principale du palais des congrès et les allées qui y conduisent. C’est l’humoriste animateur et acteur de cinéma à ses heures perdues, Bamba Bakary qui a assuré en solo la tâche de maître de cérémonie. La mise en place terminée, il a annoncé le démarrage de la soirée par une prestation de la chorale qui a exécuté la nouvelle hymne du PDCI-RDA sous la direction du circonstanciel maître de chœur, le secrétaire général adjoint chargé des sections, Michel Koffi Benoît. Désormais donc, c’est cette hymne à trois tons que l’on exécutera à toutes les cérémonies du parti. On peut relever de passage que 48 heures avant, le CD a été remis au président Henri Konan Bédié. Après l’ouverture ainsi opérée, le président du comité d’organisation, le secrétaire général adjoint, directeur financier du parti, N’z i Assamoua Désiré a situé l’objet de la célébration avant de laisser la parole au secrétaire général , le professeur Alphonse djédjé Mady qui a fait une dense intervention sans papier pour relater les combats de paix et de liberté du président fondateur, feu Félix Houphouët-Boigny , combats poursuivis par son successeur Henri Konan Bédié. Le secrétaire général du parti a relevé que si l’on parle de coup d’Etat en Côte d’Ivoire sans qu’aucune goutte de sang n’ait été versée, le mérite revient plutôt à Henri Konan Bédié qui s’est plié à l’irruption des armes sans ordonner une quelconque réplique au nom du maintien de la paix et eu égard aux enseignements du père fondateur. Djédjé Mady a aussi relevé que bien souvent, le tort des dirigeants Houphouët-Boigny et Konan Bédié est d’avoir eu raison trop tôt. A la suite et pour clore la série des allocutions, le président Bédié a salué ses collaborateurs et remercié les nombreux invités qui ont pris de leur temps et de leur argent pour donner du volume à la soirée. Signalons qu’on comptait autour du président Bédié, les vices présidents du parti et les présidents PDCI d’institutions républicaines dont Zady Kessi du Conseil Economique et Social et Emmanuel Niamien N’goran de l’inspection générale d’Etat.
Akroman A. Moïse