En conformité avec sa mission d’appui aux entreprises, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI) a tenu, le 2 mai 2013, une rencontre d’échanges et d’informations sur « l’économie verte, une nouvelle impulsion pour le développement de la Côte d’Ivoire ».
Partages et expériences sur la question de l’économie verte, ont meublé cette rencontre au cours de laquelle, le président de la chambre de Commerce et d’industrie, Nicolas Djibo, a dit pouvoir compter sur le secteur privé. «Les efforts faits par les entreprises pour incorporer la préservation de l’environnement et des ressources naturelles, dans leurs processus de production et dans leurs chaînes logistiques, pour réduire les déchets et toute forme de pollution doivent être encouragés et soutenus», a-t-il indiqué. Tout en soulignant que le secteur privé attend de cette rencontre, «la formulation d’une stratégie nationale et des incitations qui l’emmèneront à s’engager dans l’économie verte». Car, selon Cédric Lombardo, il existe de réelles opportunités de création d’emplois verts. Il suffit que l’on ait un autre regard sur notre environnement. «Le vrai problème du développement durable, c’est que nous avons des solutions mais nous ne savons pas encore les mettre en pratique», a-t-il déclaré. La contribution de l’économie verte au développement durable passe, selon Cedric Lombardo, conseiller technique de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, par «un développement qui répond aux besoins actuels sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire leurs propres besoins». Pour lui, l’économie verte ne doit pas être simplement vue comme un récepteur passif des déchets générés par l’activité économique humaine. Elle doit être considérée comme une activité assurant le bien-être et l’équité sociale, tout en réduisant ‘’considérablement les risques de pénuries écologiques’’. En d’autres termes, il s’agit de trouver la formule idoine pour arriver à une ‘’faible émission de co2, une gestion durable des ressources, et qui est socialement inclusive’’.
K. Hyacinthe
Partages et expériences sur la question de l’économie verte, ont meublé cette rencontre au cours de laquelle, le président de la chambre de Commerce et d’industrie, Nicolas Djibo, a dit pouvoir compter sur le secteur privé. «Les efforts faits par les entreprises pour incorporer la préservation de l’environnement et des ressources naturelles, dans leurs processus de production et dans leurs chaînes logistiques, pour réduire les déchets et toute forme de pollution doivent être encouragés et soutenus», a-t-il indiqué. Tout en soulignant que le secteur privé attend de cette rencontre, «la formulation d’une stratégie nationale et des incitations qui l’emmèneront à s’engager dans l’économie verte». Car, selon Cédric Lombardo, il existe de réelles opportunités de création d’emplois verts. Il suffit que l’on ait un autre regard sur notre environnement. «Le vrai problème du développement durable, c’est que nous avons des solutions mais nous ne savons pas encore les mettre en pratique», a-t-il déclaré. La contribution de l’économie verte au développement durable passe, selon Cedric Lombardo, conseiller technique de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, par «un développement qui répond aux besoins actuels sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire leurs propres besoins». Pour lui, l’économie verte ne doit pas être simplement vue comme un récepteur passif des déchets générés par l’activité économique humaine. Elle doit être considérée comme une activité assurant le bien-être et l’équité sociale, tout en réduisant ‘’considérablement les risques de pénuries écologiques’’. En d’autres termes, il s’agit de trouver la formule idoine pour arriver à une ‘’faible émission de co2, une gestion durable des ressources, et qui est socialement inclusive’’.
K. Hyacinthe
