Un nouveau vent de cohésion et de rassemblement souffle sur le Pdci-Rda. Et l’on peut affirmer, surtout après la rencontre qui s’est tenue, hier à la résidence du président Bédié, que c’est le cœur léger que les militants du Pdci-Rda négocieront les prochains grands virages qui vont permettre au parti de faire sa mue après avoir dressé son bilan, défini ses nouvelles orientation et dégager les perspectives.
Le président Bédié le veut, les militants du Pdci le souhaitent de tout cœur, le prochain congrès du parti doit être une grande fête de rassemblement, de communion au cours duquel le Pdci doit assumer son statut de parti leader, de parti de paix et de premier défenseur de l’héritage politique du président Houphouët-Boigny. Hier, en effet, le président Bédié a tout clarifié, défini les rôles et planté le décor qui va servir de cadre au prochain congrès du parti. Il a pris des décisions qui ont apaisé les cœurs. La période au cours de laquelle doivent se tenir ces assises a été rendue officielle, ce sera au mois d’octobre. Les acteurs de l’organisation sont connus : ce sera le secrétariat général.
De fait, en confiant à une commission ad’ hoc le soin de réfléchir sur les orientations stratégiques du 12e Congrès, d’aucuns avaient pensé que le président Bédié voulait écarter le secrétariat général. Hier, cette commission présidée par le ministre Niamien N’goran a rendu ses conclusions au terme du travail préparatoire qui a été accompli avec plusieurs pouls d’experts. Ces recommandations ont été très bien accueillies par le président Bédié qui a demandé, séance tenante, qu’une copie de ce rapport soit transmise au secrétaire général du Pdci qui sera chargé de l’organisation pratique du Congrès.
Ce Congrès se déroulera en deux mouvements, il sera précédé d’un conclave, une sorte de pré-congrès qui réunira 3000 membres à Daoukro à une date qui reste à préciser. C’est là que toutes les dispositions vont être prises, c’est là que les cadres du parti vont parler et se parler, c’est à Daoukro que le linge sale sera lavé en famille, toutes choses qui doivent permettre de faire du 12e Congrès une grande fête. Le bon chef, c’est celui qui prend les bonnes décisions. Le bon chef, c’est surtout celui qui sait écouter ses collaborateurs. Le président Bédié, en prenant ces décisions, accède, à la volonté des militants. A savoir, faire de ces assises une fête de communion et de rassemblement.
Akwaba Saint Clair
Le président Bédié le veut, les militants du Pdci le souhaitent de tout cœur, le prochain congrès du parti doit être une grande fête de rassemblement, de communion au cours duquel le Pdci doit assumer son statut de parti leader, de parti de paix et de premier défenseur de l’héritage politique du président Houphouët-Boigny. Hier, en effet, le président Bédié a tout clarifié, défini les rôles et planté le décor qui va servir de cadre au prochain congrès du parti. Il a pris des décisions qui ont apaisé les cœurs. La période au cours de laquelle doivent se tenir ces assises a été rendue officielle, ce sera au mois d’octobre. Les acteurs de l’organisation sont connus : ce sera le secrétariat général.
De fait, en confiant à une commission ad’ hoc le soin de réfléchir sur les orientations stratégiques du 12e Congrès, d’aucuns avaient pensé que le président Bédié voulait écarter le secrétariat général. Hier, cette commission présidée par le ministre Niamien N’goran a rendu ses conclusions au terme du travail préparatoire qui a été accompli avec plusieurs pouls d’experts. Ces recommandations ont été très bien accueillies par le président Bédié qui a demandé, séance tenante, qu’une copie de ce rapport soit transmise au secrétaire général du Pdci qui sera chargé de l’organisation pratique du Congrès.
Ce Congrès se déroulera en deux mouvements, il sera précédé d’un conclave, une sorte de pré-congrès qui réunira 3000 membres à Daoukro à une date qui reste à préciser. C’est là que toutes les dispositions vont être prises, c’est là que les cadres du parti vont parler et se parler, c’est à Daoukro que le linge sale sera lavé en famille, toutes choses qui doivent permettre de faire du 12e Congrès une grande fête. Le bon chef, c’est celui qui prend les bonnes décisions. Le bon chef, c’est surtout celui qui sait écouter ses collaborateurs. Le président Bédié, en prenant ces décisions, accède, à la volonté des militants. A savoir, faire de ces assises une fête de communion et de rassemblement.
Akwaba Saint Clair
