Abidjan, Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) a organisé samedi à Abidjan un atelier de réflexion, à l’occasion de sa fête de la liberté, un atelier de réflexion sur le thème "Les enjeux de la reprise de l’endettement de la Côte d’Ivoire par la gouvernance Ouattara".
Pour les panélistes, tous cadres de l’ancien régime, l’endettement n’est pas "une fatalité", mais "une politique économique" qu’un "Etat peut accepter comme refuser".
"Un endettement, mal orienté, mal géré, compromet dangereusement l’avenir du pays", ont-ils indiqué, invitant le gouvernement à "une gestion rigoureuse des dettes qu’il contracte pour qu’il concoure réellement au bien-être des ivoiriens aujourd’hui et pour les générations à venir".
Selon les panélistes, un pays s’endette lorsque l’épargne nationale est insuffisante.
Mais, ont relevé les débatteurs, la Côte d’Ivoire dispose de beaucoup de ressources pour se passer des dettes, "surtout avec l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE", ont-ils ajouté.
Les panélistes ont recommandé au gouvernement de mener une nouvelle politique visant à rembourser les dettes actuelles, "faute de quoi, l’insolvabilité de la dette extérieure du pays débouchera sur une crise de l’endettement, préjudiciable à nos enfants", ont-ils conclu.
Célébrée le 30 avril de chaque année depuis 1991 pour commémorer le retour du pays au multipartisme, "la fête de la liberté", la 15ème du genre, a été consacrée à la réflexion à travers l’atelier, occultant la partie festive mise en veilleuse après la crise postélectorale qui a fait officiellement plus de 3.000 morts.
Plusieurs personnalités politiques, culturelles, diplomatiques ainsi que des représentants de la société ont pris part à cet atelier.
(AIP)
Jbk/kp
Pour les panélistes, tous cadres de l’ancien régime, l’endettement n’est pas "une fatalité", mais "une politique économique" qu’un "Etat peut accepter comme refuser".
"Un endettement, mal orienté, mal géré, compromet dangereusement l’avenir du pays", ont-ils indiqué, invitant le gouvernement à "une gestion rigoureuse des dettes qu’il contracte pour qu’il concoure réellement au bien-être des ivoiriens aujourd’hui et pour les générations à venir".
Selon les panélistes, un pays s’endette lorsque l’épargne nationale est insuffisante.
Mais, ont relevé les débatteurs, la Côte d’Ivoire dispose de beaucoup de ressources pour se passer des dettes, "surtout avec l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE", ont-ils ajouté.
Les panélistes ont recommandé au gouvernement de mener une nouvelle politique visant à rembourser les dettes actuelles, "faute de quoi, l’insolvabilité de la dette extérieure du pays débouchera sur une crise de l’endettement, préjudiciable à nos enfants", ont-ils conclu.
Célébrée le 30 avril de chaque année depuis 1991 pour commémorer le retour du pays au multipartisme, "la fête de la liberté", la 15ème du genre, a été consacrée à la réflexion à travers l’atelier, occultant la partie festive mise en veilleuse après la crise postélectorale qui a fait officiellement plus de 3.000 morts.
Plusieurs personnalités politiques, culturelles, diplomatiques ainsi que des représentants de la société ont pris part à cet atelier.
(AIP)
Jbk/kp