Abengourou, Le révérend Julien Djako Afran de l’Eglise protestante méthodiste a exhorté dimanche lors de la première édition de la fête des moissons de l’Eglise Bethel d’Abengourou, les fidèles chrétiens et même les non-chrétiens à taire les querelles intestines et à se réconcilier pour aller de l’avant.
"Je voudrais demander à mes frères et sœurs de taire les querelles intestines. Nous sommes tous des frères, tous des sœurs. Chrétiens ou pas, dans tous les cas, nous sommes des hommes, donc on a tous un même père, Dieu. Nous avons donc le devoir de nous aimer", a exhorté le Rvd Afran.
"C’est vrai qu’il y a un temps pour faire des querelles, mais il y a un temps pour se réconcilier et je crois que chacun de nous doit faire son mea-culpa et laisser en arrière ce qui s’est passé pour regarder en avant", a déclaré le révérend Djako Afran, parlant du processus de réconciliation en cours après la crise postélectorale.
Intervenant sur le sens de la fête des moissons, le révérend affirme que cette fête tire sa source dans la Bible, précisément dans le livre de Deutéronome au Chapitre 26, où Dieu recommande à son peuple d’être reconnaissant pour le bien qu’il lui a fait en lui accordant tout ce qui est nécessaire à sa survie.
Aussi, le pasteur exhorte-t-il également les fidèles à la charité et à l’amour et à ne pas dilapider le bien reçu de Dieu, mais à le faire fructifier pour être digne d’être appelé enfant de Dieu.
Au cours de cette fête, les chrétiens de l’Eglise et les invités de cette fête ont acheté un Bible à plus de 300.000 FCFA, des bouteilles d’eau minérale de 2 000 à 10.000 FCFA, des paniers remplis d’ingrédients à 10.000 FCFA, pour témoigner leur reconnaissance à Dieu.
Le montant total de la moisson s’est élevé à 1.897.735 FCFA. Cette cérémonie a été l’occasion pour la communauté « Tchaman » de l’Eglise Béthel d’Abengourou de faire une action de grâce au Seigneur.
apk/kkp/cmas
"Je voudrais demander à mes frères et sœurs de taire les querelles intestines. Nous sommes tous des frères, tous des sœurs. Chrétiens ou pas, dans tous les cas, nous sommes des hommes, donc on a tous un même père, Dieu. Nous avons donc le devoir de nous aimer", a exhorté le Rvd Afran.
"C’est vrai qu’il y a un temps pour faire des querelles, mais il y a un temps pour se réconcilier et je crois que chacun de nous doit faire son mea-culpa et laisser en arrière ce qui s’est passé pour regarder en avant", a déclaré le révérend Djako Afran, parlant du processus de réconciliation en cours après la crise postélectorale.
Intervenant sur le sens de la fête des moissons, le révérend affirme que cette fête tire sa source dans la Bible, précisément dans le livre de Deutéronome au Chapitre 26, où Dieu recommande à son peuple d’être reconnaissant pour le bien qu’il lui a fait en lui accordant tout ce qui est nécessaire à sa survie.
Aussi, le pasteur exhorte-t-il également les fidèles à la charité et à l’amour et à ne pas dilapider le bien reçu de Dieu, mais à le faire fructifier pour être digne d’être appelé enfant de Dieu.
Au cours de cette fête, les chrétiens de l’Eglise et les invités de cette fête ont acheté un Bible à plus de 300.000 FCFA, des bouteilles d’eau minérale de 2 000 à 10.000 FCFA, des paniers remplis d’ingrédients à 10.000 FCFA, pour témoigner leur reconnaissance à Dieu.
Le montant total de la moisson s’est élevé à 1.897.735 FCFA. Cette cérémonie a été l’occasion pour la communauté « Tchaman » de l’Eglise Béthel d’Abengourou de faire une action de grâce au Seigneur.
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