ABIDJAN -- Les travaux de réhabilitation et de rénovation du Palais de la culture d’Abidjan pillé lors de la crise post-électorale de 2010 et 2011 ont été officiellement lancés jeudi à Abidjan par le vice-ministre chinois du Commerce, Li Jinzao, et le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman.
Li Jinzao et Maurice Bandama ont donné deux coups de marteau qui marquent symboliquement le démarrage des travaux devant un parterre d’invités dont une forte délégation chinoise composée de diplomates, d’entrepreneurs et l’équipe technique en charge du projet.
Le lancement officiel des travaux est "l’aboutissement d’un long processus qui a démarré il y a deux ans", a déclaré le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie.
Le Palais de la culture construit en 1990 par la Chine a été pillé, la totalité de ses installations techniques détruites sans compter les portes et fenêtres dégradées, le système de climatisation et de sécurité totalement hors d’usage.
Cette dégradation a entraîné une "impossibilité totale ou partielle du Palais de poursuivre ses activités", a déploré Maurice Bandaman, saluant l’accord de la Chine de réhabiliter ce "joyau architectural".
"Cette cérémonie est le témoignage de l’excellence des relations entre la Côte d’Ivoire et la Chine", a-t-il dit, insistant sur "le bel exemple" de coopération entre les deux pays.
Selon l’état des lieux fait par une équipe d’experts chinois et ivoiriens, la réhabilitation et la rénovation du Palais de la culture vont coûter 24 milliards de francs CFA, dont 15 milliards constituent un don de la Chine.
Les travaux sont prévus pour durer 24 mois.
Le vice-ministre du Commerce de Chine, Li Jinzao, a pour sa part insisté sur l’importance du Palais de la culture d’Abidjan.
"C’est le symbole de l’amitié entre la Chine et la Côte d’Ivoire", a-t-il relevé, expliquant la décision de la partie chinoise d’ouvrir cette année les travaux de réhabilitation et de rénovation du Palais de la culture.
Le vice-ministre chinois a salué les représentants de la société en charge du projet déjà présents à Abidjan et leur a demandé de "bien faire en mettant l’accent sur la qualité et la sécurité".
"La partie chinoise voudrait faire de ce projet un symbole pour rehausser davantage la coopération entre la Chine et la Côte d’Ivoire", a-t-il dit, invitant les entrepreneurs à "bien exécuter" les travaux.
Li Jinzao a en outre insisté sur la volonté du gouvernement chinois de participer à la reconstruction et à la relance économique de la Côte d’Ivoire.
En "bon ami, bon frère et bon partenaire, la Chine va continuer de participer au développement de la Côte d’Ivoire dans les limites de ses possibilités", a-t-il assuré.
Avant le début de la cérémonie, les délégations chinoises et ivoiriennes ont eu droit à une visite guidée du Palais de la culture qui s’est achevée par un parcours dans la Galerie photo de Xinhua aménagée dans l’enceinte du Palais.
Le Palais de la culture, principal bâtiment pour les activités artistiques et culturelles à Abidjan, a été bâti entre 1996 et 1999 par la Chine à hauteur de 21 milliards de francs CFA.
Il compte deux salles de spectacles, une salle de répétition et plusieurs autres espaces de réception, sans compter le théâtre à ciel ouvert de près de 3 000 places.
Li Jinzao et Maurice Bandama ont donné deux coups de marteau qui marquent symboliquement le démarrage des travaux devant un parterre d’invités dont une forte délégation chinoise composée de diplomates, d’entrepreneurs et l’équipe technique en charge du projet.
Le lancement officiel des travaux est "l’aboutissement d’un long processus qui a démarré il y a deux ans", a déclaré le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie.
Le Palais de la culture construit en 1990 par la Chine a été pillé, la totalité de ses installations techniques détruites sans compter les portes et fenêtres dégradées, le système de climatisation et de sécurité totalement hors d’usage.
Cette dégradation a entraîné une "impossibilité totale ou partielle du Palais de poursuivre ses activités", a déploré Maurice Bandaman, saluant l’accord de la Chine de réhabiliter ce "joyau architectural".
"Cette cérémonie est le témoignage de l’excellence des relations entre la Côte d’Ivoire et la Chine", a-t-il dit, insistant sur "le bel exemple" de coopération entre les deux pays.
Selon l’état des lieux fait par une équipe d’experts chinois et ivoiriens, la réhabilitation et la rénovation du Palais de la culture vont coûter 24 milliards de francs CFA, dont 15 milliards constituent un don de la Chine.
Les travaux sont prévus pour durer 24 mois.
Le vice-ministre du Commerce de Chine, Li Jinzao, a pour sa part insisté sur l’importance du Palais de la culture d’Abidjan.
"C’est le symbole de l’amitié entre la Chine et la Côte d’Ivoire", a-t-il relevé, expliquant la décision de la partie chinoise d’ouvrir cette année les travaux de réhabilitation et de rénovation du Palais de la culture.
Le vice-ministre chinois a salué les représentants de la société en charge du projet déjà présents à Abidjan et leur a demandé de "bien faire en mettant l’accent sur la qualité et la sécurité".
"La partie chinoise voudrait faire de ce projet un symbole pour rehausser davantage la coopération entre la Chine et la Côte d’Ivoire", a-t-il dit, invitant les entrepreneurs à "bien exécuter" les travaux.
Li Jinzao a en outre insisté sur la volonté du gouvernement chinois de participer à la reconstruction et à la relance économique de la Côte d’Ivoire.
En "bon ami, bon frère et bon partenaire, la Chine va continuer de participer au développement de la Côte d’Ivoire dans les limites de ses possibilités", a-t-il assuré.
Avant le début de la cérémonie, les délégations chinoises et ivoiriennes ont eu droit à une visite guidée du Palais de la culture qui s’est achevée par un parcours dans la Galerie photo de Xinhua aménagée dans l’enceinte du Palais.
Le Palais de la culture, principal bâtiment pour les activités artistiques et culturelles à Abidjan, a été bâti entre 1996 et 1999 par la Chine à hauteur de 21 milliards de francs CFA.
Il compte deux salles de spectacles, une salle de répétition et plusieurs autres espaces de réception, sans compter le théâtre à ciel ouvert de près de 3 000 places.
