Le 11 Avril 2011, monsieur OUATTARA est installé au pouvoir par la coalition Franco-Onusienne à coups de bombes. En Décembre 2011, à l’issue d’une mascarade électorale qui a recueilli moins de 15 % de taux de participation, selon les observateurs et les ONG internationales et 30 %, d’après la version de la Commission Electorale Indépendante (CEI), une Assemblée Nationale constituée dans sa quasi-totalité par les membres du Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), groupe auquel appartient le chef de l’Etat est installée. Cette Assemblée Nationale est dominée par le Rassemblement des Républicains (RDR), le parti dont Monsieur OUATTARA demeure encore le président en violation de l’article 54 de la constitution ivoirienne. Il faut relever par ailleurs que l’élection du président de ladite Assemblée s’est faite en violation des articles 35 et 65 de la constitution ivoirienne.
C’est dans ce contexte qu’intervient le 10 Avril 2013, le vote de la loi d’habilitation autorisant le chef de l’Etat, monsieur OUATTARA à gouverner par ordonnance c.-à-d. à prendre des mesures dans des domaines qui relèvent normalement de la compétence du parlement.
II / NOTRE ANALYSE
Le Front Populaire Ivoirien (FPI) relève que l’Assemblée Nationale de la législature actuelle est illégitime et illégale eu égard aux conditions de sa mise en place. En abandonnant ses prérogatives au profit de l’exécutif, l’Assemblée Nationale consacre le pouvoir personnel. Le chef de l’Etat concentre à lui seul les compétences de l’exécutif et du législatif. Cette situation donne raison à ceux qui dès le départ ont soutenu que monsieur OUATTARA est un dictateur. Le Front Populaire Ivoirien note que l’Assemblée Nationale vient de confirmer par ce vote de la loi d’habilitation, son illégalité, son illégitimité et son inutilité en cédant aussi facilement les raisons de son existence. Désormais, le monde entier est situé sur le mythe du démocrate Alassane OUATTARA.
III / NOTRE POSITION
Le Front Populaire Ivoirien dénonce l’établissement d’un pouvoir qui s’affranchit des règles de fonctionnement normal des institutions de la République ;
Le Front Populaire Ivoirien rappelle que la stabilité d’un régime n’exige pas la suppression des droits et devoirs des représentants du peuple ; par conséquent, il blâme les députés de la législature actuelle et les tient pour responsable devant l’histoire de la dictature dans notre pays ;
Le Front Populaire Ivoirien condamne fermement la dictature qui se renforce sous le régime OUATTARA ;
Le Front Populaire Ivoirien demande à ses militants, sympathisants et aux démocrates de tous bords de demeurer vigilants ;
Le Front Populaire Ivoirien invite le Peuple de Côte d’Ivoire à la vigilance afin de ne pas se laisser abuser par ces institutions vidées de leurs substances et à la solde de ce régime anti- démocratique.
Fait à Abidjan, le 10 mai 2013
Le Secrétaire Général par intérim & Porte-parole
Dr KODJO Richard
N.B: le titre est de la rédaction.
C’est dans ce contexte qu’intervient le 10 Avril 2013, le vote de la loi d’habilitation autorisant le chef de l’Etat, monsieur OUATTARA à gouverner par ordonnance c.-à-d. à prendre des mesures dans des domaines qui relèvent normalement de la compétence du parlement.
II / NOTRE ANALYSE
Le Front Populaire Ivoirien (FPI) relève que l’Assemblée Nationale de la législature actuelle est illégitime et illégale eu égard aux conditions de sa mise en place. En abandonnant ses prérogatives au profit de l’exécutif, l’Assemblée Nationale consacre le pouvoir personnel. Le chef de l’Etat concentre à lui seul les compétences de l’exécutif et du législatif. Cette situation donne raison à ceux qui dès le départ ont soutenu que monsieur OUATTARA est un dictateur. Le Front Populaire Ivoirien note que l’Assemblée Nationale vient de confirmer par ce vote de la loi d’habilitation, son illégalité, son illégitimité et son inutilité en cédant aussi facilement les raisons de son existence. Désormais, le monde entier est situé sur le mythe du démocrate Alassane OUATTARA.
III / NOTRE POSITION
Le Front Populaire Ivoirien dénonce l’établissement d’un pouvoir qui s’affranchit des règles de fonctionnement normal des institutions de la République ;
Le Front Populaire Ivoirien rappelle que la stabilité d’un régime n’exige pas la suppression des droits et devoirs des représentants du peuple ; par conséquent, il blâme les députés de la législature actuelle et les tient pour responsable devant l’histoire de la dictature dans notre pays ;
Le Front Populaire Ivoirien condamne fermement la dictature qui se renforce sous le régime OUATTARA ;
Le Front Populaire Ivoirien demande à ses militants, sympathisants et aux démocrates de tous bords de demeurer vigilants ;
Le Front Populaire Ivoirien invite le Peuple de Côte d’Ivoire à la vigilance afin de ne pas se laisser abuser par ces institutions vidées de leurs substances et à la solde de ce régime anti- démocratique.
Fait à Abidjan, le 10 mai 2013
Le Secrétaire Général par intérim & Porte-parole
Dr KODJO Richard
N.B: le titre est de la rédaction.