Le vice-président de la Société financière internationale (SFI) pour l’Afrique subsaharienne, l’Amérique latine et les Caraïbes est arrivé hier à Abidjan, dans le cadre de sa première visite en Côte d’Ivoire depuis sa nomination en février.
M. Jean Philippe Prosper qui a remplacé l’ivoirien Thierry Tanoh à la tête de l’institution, va avoir différentes séances de travail avec les autorités ivoiriennes et le secteur privé, durant son séjour abidjanais marqué également par la signature, ce mercredi, d’un accord de coopération avec le gouvernement de Côte d’Ivoire en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
L’ancien directeur pour l’Amérique latine et les Caraïbes animera jeudi une conférence de presse pour faire le point de sa tournée ouest-africaine.
Membre du groupe de la Banque mondiale, la Société financière internationale a pour mission de mobiliser des ressources pour le financement du développement des entreprise privées, favoriser le développement de marchés ouverts et concurrentiels dans les pays en développement, appuyer les entreprises et autres partenaires du secteur privé là où le besoin se fait sentir et aider à générer des emplois productifs et à fournir des services essentiels aux populations pauvres et vulnérables dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, rappelle-t-on.
M. Jean Philippe Prosper qui a remplacé l’ivoirien Thierry Tanoh à la tête de l’institution, va avoir différentes séances de travail avec les autorités ivoiriennes et le secteur privé, durant son séjour abidjanais marqué également par la signature, ce mercredi, d’un accord de coopération avec le gouvernement de Côte d’Ivoire en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
L’ancien directeur pour l’Amérique latine et les Caraïbes animera jeudi une conférence de presse pour faire le point de sa tournée ouest-africaine.
Membre du groupe de la Banque mondiale, la Société financière internationale a pour mission de mobiliser des ressources pour le financement du développement des entreprise privées, favoriser le développement de marchés ouverts et concurrentiels dans les pays en développement, appuyer les entreprises et autres partenaires du secteur privé là où le besoin se fait sentir et aider à générer des emplois productifs et à fournir des services essentiels aux populations pauvres et vulnérables dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, rappelle-t-on.
