Les responsables de la compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) ont animé une conférence de presse le jeudi 16 mai 2013 à leur siège de Treichville. L’éclairage de l’opinion sur la coupure d’électricité survenue dans la soirée du mercredi 15 mai était au centre des échanges avec les journalistes.
La conférence était animée par Mathias Kouassi, directeur général adjoint chargé de la distribution. Il avait à ses côtés, Djaha Kouadio, directeur de l’énergie et Siaka Bakayoko, chargé du transport et du mouvement énergie. Ils ont expliqué tour à tour, et selon leurs champs d’actions, l’origine de la coupure d’électricité. Pour eux, la coupure d’électricité est due à ‘’un défaut fugitif’’, en jargon électrique, c’est un élément incontrôlé dont on ne sait l’origine. Ou encore un corps étranger qui entre en contact avec les lignes électriques et provoque une coupure. Mais pour les responsables de la CIE, dès le constat de l’incident, toutes les équipes de même que les producteurs indépendants se sont mobilisés pour réalimenter le réseau électrique par l’activation du plan de défense national, mis en place en 2009. Un plan qui permet de séparer en cas d’incident le réseau d’Abidjan et celui de l’intérieur du pays. ‘’La coupure est survenue à 18h10 et une heure plus tard, soit à 19h01, nous avons alimenté nos premiers clients d’Abidjan avec le réseau du centre et de l’ouest. Nous sommes satisfaits du fonctionnement du plan de défense. Surtout qu’avant 2009, ce genre d’incident se résolvait après plusieurs heures. Souvenez-vous d’avril 2006’’, a indiqué Mathias Kouassi. Toutefois, le directeur général adjoint chargé de la distribution est formel. Selon les responsables, la coupure de l’électricité constatée le mercredi soir n’est pas un acte de sabotage. Si c’était le cas, cela aurait laissé des traces. ‘’Ce qui s’est passé est un incident technique et non un acte de sabotage’’, a-t-il soutenu. Pour finir, les responsables de la compagnie d’électricité ajoutent que bien que le réseau électrique ivoirien soit interconnecté avec celui du Ghana, l’incident du mercredi soir ne s’est pas répercuté dans le pays voisin du fait de la protection qui sépare les deux réseaux. Avant de rappeler que la Côte d’Ivoire produisait suffisamment d’électricité pour tous les Ivoiriens.
FO
La conférence était animée par Mathias Kouassi, directeur général adjoint chargé de la distribution. Il avait à ses côtés, Djaha Kouadio, directeur de l’énergie et Siaka Bakayoko, chargé du transport et du mouvement énergie. Ils ont expliqué tour à tour, et selon leurs champs d’actions, l’origine de la coupure d’électricité. Pour eux, la coupure d’électricité est due à ‘’un défaut fugitif’’, en jargon électrique, c’est un élément incontrôlé dont on ne sait l’origine. Ou encore un corps étranger qui entre en contact avec les lignes électriques et provoque une coupure. Mais pour les responsables de la CIE, dès le constat de l’incident, toutes les équipes de même que les producteurs indépendants se sont mobilisés pour réalimenter le réseau électrique par l’activation du plan de défense national, mis en place en 2009. Un plan qui permet de séparer en cas d’incident le réseau d’Abidjan et celui de l’intérieur du pays. ‘’La coupure est survenue à 18h10 et une heure plus tard, soit à 19h01, nous avons alimenté nos premiers clients d’Abidjan avec le réseau du centre et de l’ouest. Nous sommes satisfaits du fonctionnement du plan de défense. Surtout qu’avant 2009, ce genre d’incident se résolvait après plusieurs heures. Souvenez-vous d’avril 2006’’, a indiqué Mathias Kouassi. Toutefois, le directeur général adjoint chargé de la distribution est formel. Selon les responsables, la coupure de l’électricité constatée le mercredi soir n’est pas un acte de sabotage. Si c’était le cas, cela aurait laissé des traces. ‘’Ce qui s’est passé est un incident technique et non un acte de sabotage’’, a-t-il soutenu. Pour finir, les responsables de la compagnie d’électricité ajoutent que bien que le réseau électrique ivoirien soit interconnecté avec celui du Ghana, l’incident du mercredi soir ne s’est pas répercuté dans le pays voisin du fait de la protection qui sépare les deux réseaux. Avant de rappeler que la Côte d’Ivoire produisait suffisamment d’électricité pour tous les Ivoiriens.
FO
