Le lundi 13 mai 2013 aux environs de 9H 30mn, des étudiants désireux de se nourrir aux lettres constatent l’absence de micros utilisables par les enseignants pour dispenser les cours. Ces derniers se sont dirigés vers l’esplanade de la présidence de l’Université Félix Houphouët-Boigny à l’effet d’informer la présidence de l’université. Ce déplacement pacifique des étudiants vers la présidence de l’Université sera freiné par la « police universitaire », qui, va se livrer à une violence indescriptible sur lesdits étudiants. Cette violence inouïe étant insupportable par les étudiants va provoquer un mécontentement général chez l’ensemble de tous les étudiants présent sur le site universitaire. La célérité des événements laisse entrevoir que les étudiants avaient ras-le-bol, non seulement du manque de matériels didactiques, mais surtout de la police universitaire qui se donne un rôle de répression à l’Université. La réfection de l’Université de Cocody à coûté selon Monsieur Cissé BACONGO, la somme de 100 milliard. Une simple visite des lieux permet de constater que ces milliards n’ont servi qu’à repeindre les bâtiments existants. Monsieur Cissé BACONGO s’est livré lui et ses siens à une véritable escroquerie morale de la communauté universitaire. Cette situation de tromperie nationale orchestrée par Monsieur Cissé BACONGO, depuis la réouverture de l’Université de Cocody, a été fortement dénoncée par la Jeunesse du Front Populaire Ivoirien. A cet effet, la Jeunesse du Front Populaire Ivoirien avait exigé un audit pour cerner le montant exact détourné par Monsieur Cissé BACONGO et ses services. En lieu et place de cet audit, c’est le Directeur des affaires financières et administratives du ministère qui a été limogé. Les problèmes demeurent pourtant. Ce sont des bâtiments vides et des jets d’eau et des jeux de lumières que nous voyons au passage. La face visible de l’iceberg. La manifestation des étudiants répond naturellement à ce besoin d’étudier dans des conditions meilleures de travail. Seul un cadre sain peut permettre aux étudiants de précipiter au plus vite c'est-à-dire 2014, l’émergence de la Côte d’Ivoire envisagée pour 2020 par le régime illusionniste de Monsieur Dramane OUATTARA.
Après donc analyse de la situation la JFPI décide ce qui suit
- Adresse une motion de soutien à ses manifestants aux mains nues
- Compatit à la douleur des familles ayant enregistrés des blessés. (10 pour le moment)
- Exige la démission pure et simple de Monsieur Cissé Ibrahim Bacongo qui depuis un moment s’illustre comme un homme de violence qui est aux antipodes des pratiques anti-démocratiques.
- Demande la prise en charge des étudiants blessés qui sont pour la plupart des innocents assoiffés de savoir.
- Exige la dissolution de la police universitaire, une milice à la solde de monsieur Cissé Bacongo et du RDR.
- Demande à la présidence de l’Université d’analyser et de prendre en compte les revendications des étudiants plutôt que de professer les menaces d’exclusion qui ne feront qu’empirer la situation.
Fait à Abidjan, le 15 mai 2013
Pour le BEN de la JFPI
Le Secrétaire National par intérim
Le camarade Koua Justin
Après donc analyse de la situation la JFPI décide ce qui suit
- Adresse une motion de soutien à ses manifestants aux mains nues
- Compatit à la douleur des familles ayant enregistrés des blessés. (10 pour le moment)
- Exige la démission pure et simple de Monsieur Cissé Ibrahim Bacongo qui depuis un moment s’illustre comme un homme de violence qui est aux antipodes des pratiques anti-démocratiques.
- Demande la prise en charge des étudiants blessés qui sont pour la plupart des innocents assoiffés de savoir.
- Exige la dissolution de la police universitaire, une milice à la solde de monsieur Cissé Bacongo et du RDR.
- Demande à la présidence de l’Université d’analyser et de prendre en compte les revendications des étudiants plutôt que de professer les menaces d’exclusion qui ne feront qu’empirer la situation.
Fait à Abidjan, le 15 mai 2013
Pour le BEN de la JFPI
Le Secrétaire National par intérim
Le camarade Koua Justin