Abidjan, Le représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en Côte d’Ivoire, Dr Allarangar Yokuidé a souligné jeudi que les couvertures vaccinales contre la poliomyélite, la rougeole, la fièvre jaune et le DCT HepB Hib sont bonnes et encourageantes, au cours d’un point de presse au siège de l’Organisation des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Ce point de presse s’inscrit dans le cadre de la deuxième campagne de vaccination contre la polio prévue de vendredi à lundi avec pour cible plus de sept millions d’enfants âgés de zéro à cinq ans.
"Ces résultats sont la résultante des activités d’intensification qui ont lieu tous les mois dans les districts sanitaires du pays et la qualité des journées nationales de vaccination (JNV)", a-t-il indiqué avant d’ajouter que "99% des enfants de zéro à cinq ans ont été vaccinés pendant la dernière campagne contre la polio".
Dr Allarangar a aussi signifié que la situation demeure "extrêmement fragile" en raison du nombre important d’enfants environ 250 000, vaccinés pour la première fois au cours du premier passage des JNV.
L’objectif de ce deuxième passage selon Allarangar Yokuidé est de "maintenir les acquis de l’année 2012 qui a été déclarée ‘année d’urgence polio’ par la communauté internationale et de prévenir les risques d’importation de virus à partir de pays qui demeurent encore endémiques notamment le Nigeria, le Pakistan et l’Afghanistan".
"J’en appelle à tous les parents pour faire vacciner leurs enfants pour que nous soyons au rendez-vous de l’éradication de la polio. Le vaccin n’est pas dangereux, ne provoque aucune maladie. Il est efficace et son innocuité est garanti par l’OMS", lance-t-il.
Il a également fait savoir que 12 autres pays de la sous-région vont conduire ces activités de vaccination supplémentaires à la même date notamment le Mali, Burkina-Faso, Guinée, Libéria et le Ghana en vue de "maximiser toutes les chances de vacciner tous les enfants".
Ces JNV bénéficient de l’appui de l’OMS, du Rotary international, du CDC Atlanta et de l’UNICEF.
L’OMS, met à la disposition du ministère de la Santé 203 personnes composées d’agents de santé, des moniteurs indépendants, des consultants internationaux et nationaux. Elle l’assiste en logistique à travers 151 véhicules, des fournitures d’intrants et du carburant ainsi qu’un appui financier aux coûts opérationnels, rappelle-t-on.
(AIP)
en/kam
Ce point de presse s’inscrit dans le cadre de la deuxième campagne de vaccination contre la polio prévue de vendredi à lundi avec pour cible plus de sept millions d’enfants âgés de zéro à cinq ans.
"Ces résultats sont la résultante des activités d’intensification qui ont lieu tous les mois dans les districts sanitaires du pays et la qualité des journées nationales de vaccination (JNV)", a-t-il indiqué avant d’ajouter que "99% des enfants de zéro à cinq ans ont été vaccinés pendant la dernière campagne contre la polio".
Dr Allarangar a aussi signifié que la situation demeure "extrêmement fragile" en raison du nombre important d’enfants environ 250 000, vaccinés pour la première fois au cours du premier passage des JNV.
L’objectif de ce deuxième passage selon Allarangar Yokuidé est de "maintenir les acquis de l’année 2012 qui a été déclarée ‘année d’urgence polio’ par la communauté internationale et de prévenir les risques d’importation de virus à partir de pays qui demeurent encore endémiques notamment le Nigeria, le Pakistan et l’Afghanistan".
"J’en appelle à tous les parents pour faire vacciner leurs enfants pour que nous soyons au rendez-vous de l’éradication de la polio. Le vaccin n’est pas dangereux, ne provoque aucune maladie. Il est efficace et son innocuité est garanti par l’OMS", lance-t-il.
Il a également fait savoir que 12 autres pays de la sous-région vont conduire ces activités de vaccination supplémentaires à la même date notamment le Mali, Burkina-Faso, Guinée, Libéria et le Ghana en vue de "maximiser toutes les chances de vacciner tous les enfants".
Ces JNV bénéficient de l’appui de l’OMS, du Rotary international, du CDC Atlanta et de l’UNICEF.
L’OMS, met à la disposition du ministère de la Santé 203 personnes composées d’agents de santé, des moniteurs indépendants, des consultants internationaux et nationaux. Elle l’assiste en logistique à travers 151 véhicules, des fournitures d’intrants et du carburant ainsi qu’un appui financier aux coûts opérationnels, rappelle-t-on.
(AIP)
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