Abidjan - Le directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Dr Margaret Chan, a reconnu l’utilité du règlement sanitaire international "pour détecter les urgences de santé publique et y faire face, y compris celles dues à une nouvelle maladie", à l’occasion de la 66e assemblée de l’organisme onusien qui se tient depuis lundi à Genève (Suisse).
"La menace des maladies émergentes et potentiellement épidémiques est toujours présente. Je ne saurai assez insister sur l’importance que revêtent les notifications immédiates et entièrement transparentes à l’OMS et le strict respect des obligations énoncées dans le règlement sanitaire international", a déclaré Margaret Chan devant quelque 3000 participants venus du monde entier pour débattre des grandes questions de santé.
Selon elle, la santé publique, en ces temps de troubles, "apparaît de plus en plus comme un refuge, un motif d'espoir, un domaine dans lequel tous les pays ont la possibilité d'œuvrer ensemble pour le bien de l'humanité".
Jusqu’au 28 mai prochain, les participants à l’assemblée générale de l’OMS débattront des questions de santé relatives à la lutte contre les maladies non transmissibles telles que le diabète, les cardiopathies, les cancers et les pneumopathies chroniques, au suivi des progrès que font des pays sur la voie des objectifs du Millénaire pour le développement, à l’intensification des opérations d’éradication de la poliomyélite ainsi qu’aux efforts déployés pour protéger davantage d’enfants contre les maladies pouvant être prévenues par la vaccination et à l’appui dont les pays ont besoin pour progresser vers la couverture sanitaire universelle.
La santé dans le programme de l’après-2015, le budget de l’OMS pour 2014-2015 et l’état d’avancement de la réforme de l'Organisation sont aussi inscrits à l’ordre du jour.
Les résultats de l’assemblée de la santé sont particulièrement importants cette année, car l’Organisation entre dans un nouveau cycle de programmation de six ans défini dans le programme général de travail, indique-t-on.
L’assemblée prendra à cet effet des décisions importantes sur la façon dont l’OMS doit continuer à se réformer pour être en position d’œuvrer efficacement dans le monde de la santé du XXIe siècle.
Dans une récente enquête sur les activités de l’OMS, quatre des cinq grands acteurs de la santé publique ont jugé indispensable l’intervention de l’OMS pour améliorer la santé des populations dans le monde.
(AIP)
en/kkp/kp
"La menace des maladies émergentes et potentiellement épidémiques est toujours présente. Je ne saurai assez insister sur l’importance que revêtent les notifications immédiates et entièrement transparentes à l’OMS et le strict respect des obligations énoncées dans le règlement sanitaire international", a déclaré Margaret Chan devant quelque 3000 participants venus du monde entier pour débattre des grandes questions de santé.
Selon elle, la santé publique, en ces temps de troubles, "apparaît de plus en plus comme un refuge, un motif d'espoir, un domaine dans lequel tous les pays ont la possibilité d'œuvrer ensemble pour le bien de l'humanité".
Jusqu’au 28 mai prochain, les participants à l’assemblée générale de l’OMS débattront des questions de santé relatives à la lutte contre les maladies non transmissibles telles que le diabète, les cardiopathies, les cancers et les pneumopathies chroniques, au suivi des progrès que font des pays sur la voie des objectifs du Millénaire pour le développement, à l’intensification des opérations d’éradication de la poliomyélite ainsi qu’aux efforts déployés pour protéger davantage d’enfants contre les maladies pouvant être prévenues par la vaccination et à l’appui dont les pays ont besoin pour progresser vers la couverture sanitaire universelle.
La santé dans le programme de l’après-2015, le budget de l’OMS pour 2014-2015 et l’état d’avancement de la réforme de l'Organisation sont aussi inscrits à l’ordre du jour.
Les résultats de l’assemblée de la santé sont particulièrement importants cette année, car l’Organisation entre dans un nouveau cycle de programmation de six ans défini dans le programme général de travail, indique-t-on.
L’assemblée prendra à cet effet des décisions importantes sur la façon dont l’OMS doit continuer à se réformer pour être en position d’œuvrer efficacement dans le monde de la santé du XXIe siècle.
Dans une récente enquête sur les activités de l’OMS, quatre des cinq grands acteurs de la santé publique ont jugé indispensable l’intervention de l’OMS pour améliorer la santé des populations dans le monde.
(AIP)
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