Abidjan - Le président ivoirien, Alassane Ouattara, quitte Abidjan, jeudi, pour Addis-Abeba où il prendra part aux festivités du 50ème anniversaire de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) et au 21ème sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) sur le thème "Panafricanisme et renaissance africaine".
Créée le 25 mai 1963, l’organisation panafricaine avait entre autres objectifs, l’élimination de toute forme de colonialisme, le renforcement de l’unité et la solidarité des Etats africains, la coordination et l’intensification de la coopération en faveur du développement, la défense de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des Etats membres, le renforcement de la coopération internationale dans le cadre des Nations unies.
En vue d’accélérer le processus d’intégration économique, politique et culturelle du continent, pour le renforcement de l’unité africaine et de la solidarité entre les pays et les peuples africains, les chefs d’Etat et de gouvernement se sont réunis le 9 septembre 1999 à Syrte, en Libye, et ont adopté une déclaration, dénommée Déclaration de Syrte de laquelle va naître le 9 juillet 2002, à Durban, en Afrique du Sud, l’Union africaine (UA), en vue de permettre à l’Afrique de jouer son rôle dans l’économie mondiale, tout en déployant des efforts pour résoudre les problèmes sociaux, économiques et politiques multiformes auxquels elle est confrontée.
Un demi-siècle après, une réflexion mérite d’être menée sur la situation de l’Afrique qui est encore en deçà de ses potentialités dans ce contexte de globalisation, note-t-on.
Après Addis-Abeba, le chef de l’Etat ivoirien va se rendre à Yokohama, au Japon, pour assister à la 5ème Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD V), prévue du 31 mai au 3 juin.
Avant de regagner Abidjan, le président Ouattara assistera, le 5 juin à Paris, à la cérémonie de remise du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix de l’UNESCO au président français, François Hollande, lauréat 2013 pour ses actions en faveur de l’intégrité territoriale du Mali qui s’apprête à organiser fin juillet des élections générales pour un retour à une vie constitutionnelle normale.
(AIP)
kp
Créée le 25 mai 1963, l’organisation panafricaine avait entre autres objectifs, l’élimination de toute forme de colonialisme, le renforcement de l’unité et la solidarité des Etats africains, la coordination et l’intensification de la coopération en faveur du développement, la défense de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des Etats membres, le renforcement de la coopération internationale dans le cadre des Nations unies.
En vue d’accélérer le processus d’intégration économique, politique et culturelle du continent, pour le renforcement de l’unité africaine et de la solidarité entre les pays et les peuples africains, les chefs d’Etat et de gouvernement se sont réunis le 9 septembre 1999 à Syrte, en Libye, et ont adopté une déclaration, dénommée Déclaration de Syrte de laquelle va naître le 9 juillet 2002, à Durban, en Afrique du Sud, l’Union africaine (UA), en vue de permettre à l’Afrique de jouer son rôle dans l’économie mondiale, tout en déployant des efforts pour résoudre les problèmes sociaux, économiques et politiques multiformes auxquels elle est confrontée.
Un demi-siècle après, une réflexion mérite d’être menée sur la situation de l’Afrique qui est encore en deçà de ses potentialités dans ce contexte de globalisation, note-t-on.
Après Addis-Abeba, le chef de l’Etat ivoirien va se rendre à Yokohama, au Japon, pour assister à la 5ème Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD V), prévue du 31 mai au 3 juin.
Avant de regagner Abidjan, le président Ouattara assistera, le 5 juin à Paris, à la cérémonie de remise du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix de l’UNESCO au président français, François Hollande, lauréat 2013 pour ses actions en faveur de l’intégrité territoriale du Mali qui s’apprête à organiser fin juillet des élections générales pour un retour à une vie constitutionnelle normale.
(AIP)
kp