Les enquêtes sur l’attaque d’un commissariat et du camp militaire d’Abengourou se poursuivent. Hier jeudi 23 mai 2013, de nouvelles interpellations ont eu lieu dans la ville et qui portent à 11, le nombre d’assaillants présumés arrêtés.
Le pasteur Brou Kablan Elie vers qui se sont dirigés les enquêteurs après les premiers déballages des interpellés a quitté la ville d’Abengourou pour une destination inconnue. Trois présumés assaillants ont été arrêtés à son domicile. Dans leurs investigations, les enquêteurs ont découvert dans les maisons inachevées situées dans l’enceinte du Centre hospitalier régional (Chr), des treillis militaires. Ici, le chef du personnel dont l’identité n’a pas été révélée et présumé complice est aussi en fuite. Ces différentes informations ont été rapportées par le correspondant de l’IA dans la région et qui les tient du commandant Soro Dramane qui dirige le Bataillon de sécurisation de l’Est (Bse).
43 villes dans le viseur, code de l’opération : Dieu
Toujours selon les premières révélations de l’officier, les assaillants avaient pour mission d’attaquer 43 villes du pays y compris les 10 communes de Yopougon. Il a été découvert sur eux les plans d’attaque gardés ‘’top secret’’ par la hiérarchie militaire pour les besoins de l’enquête. Les déstabilisateurs projetaient également d’assassiner les chefs d’unités parmi lesquels le commandant de compagnie et son adjoint puis un officier de police du premier arrondissement. On sait également que ces assaillants pour la seule ville d’Abengourou sont au nombre de 78 et c’est leur chef des opérations qui a été tué dès le déclenchement de l’opération. Malheureusement, informe notre correspondant, aucun indice n’est disponible quant aux commanditaires qui ne sont pas en lien étroit avec les exécutants. Le code d’opération s’articule autour des signes langagiers : «qui est fou ?», réponse : «Dieu». Parmi les villes à attaquer, figuraient Yamoussoukro, la capitale politique, Bondoukou et bien d’autres grandes villes. Sur les 11 personnes arrêtées, 5 seraient déjà à Abidjan en attendant le transfèrement des six autres.
S.Debailly (infos : Ernest Famin)
Le pasteur Brou Kablan Elie vers qui se sont dirigés les enquêteurs après les premiers déballages des interpellés a quitté la ville d’Abengourou pour une destination inconnue. Trois présumés assaillants ont été arrêtés à son domicile. Dans leurs investigations, les enquêteurs ont découvert dans les maisons inachevées situées dans l’enceinte du Centre hospitalier régional (Chr), des treillis militaires. Ici, le chef du personnel dont l’identité n’a pas été révélée et présumé complice est aussi en fuite. Ces différentes informations ont été rapportées par le correspondant de l’IA dans la région et qui les tient du commandant Soro Dramane qui dirige le Bataillon de sécurisation de l’Est (Bse).
43 villes dans le viseur, code de l’opération : Dieu
Toujours selon les premières révélations de l’officier, les assaillants avaient pour mission d’attaquer 43 villes du pays y compris les 10 communes de Yopougon. Il a été découvert sur eux les plans d’attaque gardés ‘’top secret’’ par la hiérarchie militaire pour les besoins de l’enquête. Les déstabilisateurs projetaient également d’assassiner les chefs d’unités parmi lesquels le commandant de compagnie et son adjoint puis un officier de police du premier arrondissement. On sait également que ces assaillants pour la seule ville d’Abengourou sont au nombre de 78 et c’est leur chef des opérations qui a été tué dès le déclenchement de l’opération. Malheureusement, informe notre correspondant, aucun indice n’est disponible quant aux commanditaires qui ne sont pas en lien étroit avec les exécutants. Le code d’opération s’articule autour des signes langagiers : «qui est fou ?», réponse : «Dieu». Parmi les villes à attaquer, figuraient Yamoussoukro, la capitale politique, Bondoukou et bien d’autres grandes villes. Sur les 11 personnes arrêtées, 5 seraient déjà à Abidjan en attendant le transfèrement des six autres.
S.Debailly (infos : Ernest Famin)