L’école Ivoirienne retrouve progressivement ses repères. Ce, depuis l’accession au pourvoir du Président Alassane Ouattara. D’importantes ressources ont été dégagés pour non seulement l’amélioration de la qualité de l’enseignement, mais également les conditions de travail et de vie des enseignants. En effet, pour l’atteinte de l’objectif de la scolarisation Universelle à l’horizon 2015, l’Etat de Côte d’Ivoire, sous l’impulsion du Président Ouattara, a mis en place une Politique de la gratuité scolaire avec en prime, la distribution gratuite de kits scolaires aux élèves des établissements primaires publics de la Côte d’Ivoire. Au cours de l’année scolaire 2011-2012, ce sont 2,4 millions de kits scolaires qui ont été distribués. Ce nombre est passé à 2,5 millions lors de cette rentrée scolaire 2012-2013. A travers cette politique, le Président de la République veut donner la chance à tous les enfants du pays d’aller à l’école. Pour lui, aucun parent ne doit prétexter d’une quelconque pauvreté pour ne pas scolariser ses enfants, étant entendu que les kits sont offerts gracieusement. Les inscriptions également sont désormais gratuites dans les écoles Primaires Publiques. Et pour améliorer l’accès à l’éducation, il y eu le démarrage de la construction et l’équipement de plusieurs infrastructures scolaires. Ainsi, il y a eu le démarrage de la construction de 1500 salles de classe dans le primaire, 143 au préscolaire et 100 logements de maîtres. Au titre de la carte scolaire de cette année scolaire, ce sont 1800 salles de classes du primaire qui sont disponibles. Et avec la prise en compte des 1500 salles de classe qui seront construites par le Programme Présidentiel d’Urgence (PPU), ce sont au total 3.300 classes qui en principe doivent être ouvertes pendant cette année scolaire 2012-2013. En clair, d’ici 2015, l’année de l’atteinte de la scolarisation universelle, la Côte d’Ivoire envisage de construire 25.000 salles de classe. Le secondaire général et technique n’a pas été ignoré. La construction de 8 nouveaux collèges a démarré. Tandis que les travaux de cinq autres collèges ont été achevés, ce dans le cadre du Projet d’Appui au Secteur Education / Formation (PASEF). Et 11 collèges de proximité dont les travaux de constructions ont déjà démarré seront disponibles cette année (année scolaire 2012 -2013). Il est bon de noter que depuis qu’il a été porté à la tête du pays, le Président Alassane Ouattara, s’est attaqué au déficit criant d’enseignants dans le système éducatif ivoirien. L’année scolaire 2011-2012, l’Etat a procédé au recrutement de 5000 Instituteurs (2500 Instituteurs Ordinaires (IO) et 2500 Instituteurs Adjoints (IA). Et pour cette année, il envisage de recruter 8000 Instituteurs. Soit total de 13.000 enseignants en deux ans. A cela s’ajoute le recrutement des enseignants contractuels estimés à 3000 personnes. En l’espace de deux ans, l’Etat a recruté 16.000 enseignants ivoiriens. Les différentes actions du gouvernement relatives à l’amélioration du système éducatif ivoirien sont à saluer. Mais, beaucoup reste encore à faire.
110 milliards FCFA pour la réhabilitation des Universités Publiques
La Côte d’Ivoire peut s’enorgueillir aujourd’hui et sans complexe, de disposer d’universités aux normes internationales. Cela, grâce au Président Ouattara qui, dès son accession à la Magistrature suprême, a procédé à la réhabilitation des Universités de Félix Houphouët-Boigny (anciennement université de cocody), l’université Nangui Abrogoua (université Abobo d’Adjamé), l’université Alassane Ouattara (Bouaké). A cela s’ajoute, l’ex-Esie de Bingerville , l’IHAA de Treichville, les cité Rouge, de Mermoz et de la Riviera 2. Les Ures de Korhogo, Daloa n’ont pas été exclues. Ainsi, l’Etat aura dégagé un montant global de 110 milliards FCFA pour la remise en train du monde universitaire. A travers ces réhabilitations, le Président de la République s’est engagé non seulement à améliorer les conditions d’études des étudiants ivoiriens, mais également à rendre compétitives les ressources humaines issues de ces universités. Avec cette initiative, la Côte d’Ivoire dispose désormais d’infrastructures suffisantes à même de mieux former ses élèves. Le système Licence, Master et Doctorat (LMD) a fait son entrée, et même s’il n’est que dans sa transitoire, sa vitesse de croisière est prévue pour être atteinte dès la rentrée Académique 2014. Les universités ne sont plus des champs de bataille entre étudiants, encore moins entre ces derniers et leurs maîtres. Au niveau des cursus universitaires, il n’est plus possible pour un étudiant de faire sa carrière à l’université, le fameux ‘’Parapluie Atomique’’ étant supprimé.
L’étudiant n’est plus autorisé à faire trois ans en Licence. Les fichiers des universités ont été dépoussiérés et plus de dix mille étudiants fictifs ont été démasqués. En tout cas, en moins de deux ans, le gouvernement du Président Ouattara aura réussi à offrir des universités dignes de ce nom à la Côte d’Ivoire. Certes, aucune ?uvre humaine n’est parfaite, quelques efforts sont encore à faire de la part, mais le fossé entre hier et aujourd’hui est grand. En ce qui concerne l’amélioration du transport des étudiants, la Sotra n’a plus accès au campus et la mise en circulation des Bus électriques a déjà débuté. A cela s’ajoute la réparation des micros défaillants et l’équipement des bibliothèques. Pour réaliser son ambition de la Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020, avec des ressources humaines de qualité, le Président de la République a annoncé la construction de trois autres Universités publiques, à Man, Bondoukou et San Pedro. Leur cout de réalisation est estimé à environ 450 milliards FCFA.
Anzoumana Cissé
110 milliards FCFA pour la réhabilitation des Universités Publiques
La Côte d’Ivoire peut s’enorgueillir aujourd’hui et sans complexe, de disposer d’universités aux normes internationales. Cela, grâce au Président Ouattara qui, dès son accession à la Magistrature suprême, a procédé à la réhabilitation des Universités de Félix Houphouët-Boigny (anciennement université de cocody), l’université Nangui Abrogoua (université Abobo d’Adjamé), l’université Alassane Ouattara (Bouaké). A cela s’ajoute, l’ex-Esie de Bingerville , l’IHAA de Treichville, les cité Rouge, de Mermoz et de la Riviera 2. Les Ures de Korhogo, Daloa n’ont pas été exclues. Ainsi, l’Etat aura dégagé un montant global de 110 milliards FCFA pour la remise en train du monde universitaire. A travers ces réhabilitations, le Président de la République s’est engagé non seulement à améliorer les conditions d’études des étudiants ivoiriens, mais également à rendre compétitives les ressources humaines issues de ces universités. Avec cette initiative, la Côte d’Ivoire dispose désormais d’infrastructures suffisantes à même de mieux former ses élèves. Le système Licence, Master et Doctorat (LMD) a fait son entrée, et même s’il n’est que dans sa transitoire, sa vitesse de croisière est prévue pour être atteinte dès la rentrée Académique 2014. Les universités ne sont plus des champs de bataille entre étudiants, encore moins entre ces derniers et leurs maîtres. Au niveau des cursus universitaires, il n’est plus possible pour un étudiant de faire sa carrière à l’université, le fameux ‘’Parapluie Atomique’’ étant supprimé.
L’étudiant n’est plus autorisé à faire trois ans en Licence. Les fichiers des universités ont été dépoussiérés et plus de dix mille étudiants fictifs ont été démasqués. En tout cas, en moins de deux ans, le gouvernement du Président Ouattara aura réussi à offrir des universités dignes de ce nom à la Côte d’Ivoire. Certes, aucune ?uvre humaine n’est parfaite, quelques efforts sont encore à faire de la part, mais le fossé entre hier et aujourd’hui est grand. En ce qui concerne l’amélioration du transport des étudiants, la Sotra n’a plus accès au campus et la mise en circulation des Bus électriques a déjà débuté. A cela s’ajoute la réparation des micros défaillants et l’équipement des bibliothèques. Pour réaliser son ambition de la Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020, avec des ressources humaines de qualité, le Président de la République a annoncé la construction de trois autres Universités publiques, à Man, Bondoukou et San Pedro. Leur cout de réalisation est estimé à environ 450 milliards FCFA.
Anzoumana Cissé