L’offensive diplomatique lancée par le Président de la République depuis son accession au pouvoir d’Etat, il y a de cela deux ans seulement pour restaurer l’image ternie de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale, porte ses fruits. Vomie dans un passé récent pour sa réputation de pays de la corruption, de la gabegie où la vie humaine n’avait aucune valeur, surtout pour les relations tumultueuses qu’entretenaient ses anciens dirigeants avec nombre de pays africains et du monde, la Côte d’Ivoire sous la houlette du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a renoué avec la vision de son 1er Président, Félix Houphouët-Boigny. Une vision qui fait de la Côte d’Ivoire un pays “ami de tous, ennemis de personne’’. En effet, guidé par le souci de redynamiser les relations de son pays avec le reste de l’Afrique et le monde entier, le premier citoyen ivoirien ne ménage aucun effort. Tel un vagabond de la diplomatie, qu’il sait salvatrice pour un pays qui a longtemps souffert d’une politique autarcique que rien ne justifiait si ce n’est ce repli nationaliste de mauvais aloi dont aiment à se vanter les Frontistes, Alassane Ouattara parcourt des milliers et des milliers de kilomètres pour rétablir l’image de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale. Profitant de ces occasions pour présenter aux investisseurs du monde entier les opportunités d’affaires dont regorge son pays. L’Afrique, l’Amérique, l’Asie, l’Europe…, aucun continent n’échappe à cette sorte de « diplomatie réparatrice » pour un pays gravement défigurée par une décennie de je-m’en-foutisme politique. Cette débauche d’énergie doublée de la volonté nettement affichée du locataire du palais présidentiel du Plateau, de faire de son pays une destination sûre et certaine, en somme, la vitrine d’une Afrique de l’Ouest stable et économiquement forte, ses pairs n’en sont pas restés insensibles, qui lui ont confié la présidence de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Une confiance d’autant plus grande placée, le 17 février 2012 à Abuja, en l’unique Premier ministre du père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, qu’il n’était aux commandes du navire Ivoire qu’à peine un an.
Du reste, son acharnement au travail, son engagement sans faille dans la résolution des crises au Mali et en Guinée Bissau vaudra au successeur du président du Nigéria, Goodluck Jonathan, d’être à nouveau reconduit par ses homologues africains pour un mandat d’un an. Avec sa double casquette, le président ivoirien, en économiste avisé, connu mondialement et respecté de tous pour sa brillance, fait des mains et des pieds pour convaincre les hommes d’affaires du monde à investir dans son pays. Convaincu que la force et la puissance d’un pays, dans ce monde planétaire, réside dans sa capacité d’ouverture et dans la saine gestion des affaires de l’Etat, l’homme fort d’Abidjan multiplie les visites officielles, de travail et d’affaires dans tous les pays du monde. Etats-Unis, Arabie Saoudite, Israël, Qatar, France, Allemagne, Chine, Japon, Inde pour ne citer que ces pays, ont été visités par l’ancien Directeur général adjoint du FMI pour repositionner son pays. Et la moisson, on peut le dire, est bonne. Désormais, la Côte d’Ivoire a retrouvé ses lettres de noblesse et les grands de ce monde se bousculent sur les bords de la lagune Ebrié. Hillary Clinton, l’ancienne secrétaire d’Etat américain, le Président libanais, le Général Michel Sleiman, le Roi du Maroc, Mohamed VI, le président de la Banque Mondiale, Jim Yong Kim, le Directeur général du Fonds Monétaire International, Christine Lagarde… se sont déplacés jusqu’à Abidjan pour se convaincre que la nouvelle Côte d’Ivoire portée par Alassane Ouattara est véritablement en marche. Redevenue la plaque tournante qu’elle était, le pays d’Houphouët-Boigny a retrouvé son lustre d’antan et attire les investisseurs de tous horizons.
En effet, ils viennent des quatre coins du monde pour explorer le marché ivoirien en vue d’y investir. Français, Belges, Allemands, Chinois, Japonais, Indiens, Israéliens, Marocains, Nigérians … tous ont à nouveau confiance à la Côte d’ivoire et ont commencé pour certains à implanter des usines en terres ivoiriennes. «Côte d’Ivoire is back», se plait à dire le président de la République. Panafricaniste au vrai sens du mot, le Président Ouattara accorde un intérêt particulier à l’union des filles et fils du continent. C’est pourquoi, il a remis en scelle le Conseil de l’Entente qui était dans un coma profond depuis des décennies.
Cet instrument de développement mis en place au lendemain des indépendances par la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, le Niger et le Togo est un cadre d’échanges entre ces pays voisins pour raffermir les liens de coopération afin d’être compétitifs sur les marchés mondiaux. On le voit, en deux ans d’exercice du pouvoir, le Président de la République a donné à la Côte d’Ivoire toute la place qu’elle mérite en Afrique et dans la monde. Le retour diplomatique du pays de Félix Houphouët-Boigny sous Ouattara est, sans conteste, gagnant.
Lacina Ouattara
Du reste, son acharnement au travail, son engagement sans faille dans la résolution des crises au Mali et en Guinée Bissau vaudra au successeur du président du Nigéria, Goodluck Jonathan, d’être à nouveau reconduit par ses homologues africains pour un mandat d’un an. Avec sa double casquette, le président ivoirien, en économiste avisé, connu mondialement et respecté de tous pour sa brillance, fait des mains et des pieds pour convaincre les hommes d’affaires du monde à investir dans son pays. Convaincu que la force et la puissance d’un pays, dans ce monde planétaire, réside dans sa capacité d’ouverture et dans la saine gestion des affaires de l’Etat, l’homme fort d’Abidjan multiplie les visites officielles, de travail et d’affaires dans tous les pays du monde. Etats-Unis, Arabie Saoudite, Israël, Qatar, France, Allemagne, Chine, Japon, Inde pour ne citer que ces pays, ont été visités par l’ancien Directeur général adjoint du FMI pour repositionner son pays. Et la moisson, on peut le dire, est bonne. Désormais, la Côte d’Ivoire a retrouvé ses lettres de noblesse et les grands de ce monde se bousculent sur les bords de la lagune Ebrié. Hillary Clinton, l’ancienne secrétaire d’Etat américain, le Président libanais, le Général Michel Sleiman, le Roi du Maroc, Mohamed VI, le président de la Banque Mondiale, Jim Yong Kim, le Directeur général du Fonds Monétaire International, Christine Lagarde… se sont déplacés jusqu’à Abidjan pour se convaincre que la nouvelle Côte d’Ivoire portée par Alassane Ouattara est véritablement en marche. Redevenue la plaque tournante qu’elle était, le pays d’Houphouët-Boigny a retrouvé son lustre d’antan et attire les investisseurs de tous horizons.
En effet, ils viennent des quatre coins du monde pour explorer le marché ivoirien en vue d’y investir. Français, Belges, Allemands, Chinois, Japonais, Indiens, Israéliens, Marocains, Nigérians … tous ont à nouveau confiance à la Côte d’ivoire et ont commencé pour certains à implanter des usines en terres ivoiriennes. «Côte d’Ivoire is back», se plait à dire le président de la République. Panafricaniste au vrai sens du mot, le Président Ouattara accorde un intérêt particulier à l’union des filles et fils du continent. C’est pourquoi, il a remis en scelle le Conseil de l’Entente qui était dans un coma profond depuis des décennies.
Cet instrument de développement mis en place au lendemain des indépendances par la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, le Niger et le Togo est un cadre d’échanges entre ces pays voisins pour raffermir les liens de coopération afin d’être compétitifs sur les marchés mondiaux. On le voit, en deux ans d’exercice du pouvoir, le Président de la République a donné à la Côte d’Ivoire toute la place qu’elle mérite en Afrique et dans la monde. Le retour diplomatique du pays de Félix Houphouët-Boigny sous Ouattara est, sans conteste, gagnant.
Lacina Ouattara
