Même s’il a pris les rênes du pouvoir dans une situation chaotique, avec un pays en déliquescence, le président de la République, Alassane Ouattara, a en deux ans, su redonner vie à la nation ivoirienne et à la quasi-totalité de ses Institutions. Dans l’ensemble, les élections législatives se sont bien déroulées, le 11 décembre 2012, pour un taux de participation de l’ordre de 30%. Après quoi, le Parlement a été mis en place et les députés de la nation siègent convenablement. S’en sont suivies, le 21 avril dernier, les élections régionales et municipales. Là encore, le taux de participation a atteint 36,44% aux municipales (contre 39,40% en 2001) et 44,03% à ces premières régionales (contre 28,01% aux élections départementales de 2002), a indiqué le président de la Commission électorale et indépendante(CEI).
L’appareil judiciaire a recouvré ses lettres de noblesse et fonctionne véritablement. La Cour suprême et la Cour institutionnelle ont été par ailleurs installées. Le renouvellement du Conseil économique et social est en passe d’être une réalité. L’Armée et ses grands commandements se sont solidifiés et réunifiés avec la création des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI). A côté de la renaissance des Institutions de la République, des signes patents d’une stabilité politique sont perceptibles. Notamment avec les relations courtoises et responsables qui lient le président de la République, Alassane Ouattara à son aîné, Henri Konan Bédié par ailleurs, président de la Conférence des présidents du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP). Cette tendance est corroborée par la victoire de la coalition au pouvoir dans toutes les élections.
Le candidat du RHDP, Alassane Ouattara a remporté le second tour de l’élection présidentielle. Aux municipales et aux régionales, l’alliance a présenté un certain nombre de candidats qui sont passés haut les mains. A l’issue du cycle électoral qui a pris fin avec les élections locales, le Rassemblement des républicains (RDR), le parti du détenteur du pouvoir Exécutif, s’est hissé à une place de choix, la première, sur l’ensemble du territoire national. Au-delà des frontières nationales, la Côte d’Ivoire a su entretenir des relations de bon voisinage avec les pays frères et frontaliers de la sous-région : Ghana, Libéria, Burkina Faso, Guinée-Conakry, Mali.
Depuis sa prise de fonction, le chef de l’Etat s’est rendu au moins une fois dans chacune de ces contrées. Et en retour, les dirigeants de ces pays ou dans une moindre mesure, leurs émissaires ont déjà foulé le sol ivoirien. Au niveau interne, des efforts sont effectués au quotidien par le régime pour la dynamisation des services de la Fonction publique. C’est tout le système qui a été complètement informatisé. Les fichiers de gestion de la Solde des fonctionnaires ont été harmonisés par les services compétents. Et depuis l’accession au pouvoir d’Etat du président Ouattara, l’on a assisté à la rationalisation des concours de la Fonction publique. Des promesses ont été faites dans le sens de la revalorisation et d’une justice au niveau des salaires des travailleurs de la Fonction publique. Des vérifications ont été faites du point de vue de l’authenticité des diplômes des travailleurs de la Fonction publique dans l’optique d’un assainissement. De nombreuses autres mesures ont été prises pour un appareil étatique plus fort.
COULIBALY Zoumana
L’appareil judiciaire a recouvré ses lettres de noblesse et fonctionne véritablement. La Cour suprême et la Cour institutionnelle ont été par ailleurs installées. Le renouvellement du Conseil économique et social est en passe d’être une réalité. L’Armée et ses grands commandements se sont solidifiés et réunifiés avec la création des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI). A côté de la renaissance des Institutions de la République, des signes patents d’une stabilité politique sont perceptibles. Notamment avec les relations courtoises et responsables qui lient le président de la République, Alassane Ouattara à son aîné, Henri Konan Bédié par ailleurs, président de la Conférence des présidents du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP). Cette tendance est corroborée par la victoire de la coalition au pouvoir dans toutes les élections.
Le candidat du RHDP, Alassane Ouattara a remporté le second tour de l’élection présidentielle. Aux municipales et aux régionales, l’alliance a présenté un certain nombre de candidats qui sont passés haut les mains. A l’issue du cycle électoral qui a pris fin avec les élections locales, le Rassemblement des républicains (RDR), le parti du détenteur du pouvoir Exécutif, s’est hissé à une place de choix, la première, sur l’ensemble du territoire national. Au-delà des frontières nationales, la Côte d’Ivoire a su entretenir des relations de bon voisinage avec les pays frères et frontaliers de la sous-région : Ghana, Libéria, Burkina Faso, Guinée-Conakry, Mali.
Depuis sa prise de fonction, le chef de l’Etat s’est rendu au moins une fois dans chacune de ces contrées. Et en retour, les dirigeants de ces pays ou dans une moindre mesure, leurs émissaires ont déjà foulé le sol ivoirien. Au niveau interne, des efforts sont effectués au quotidien par le régime pour la dynamisation des services de la Fonction publique. C’est tout le système qui a été complètement informatisé. Les fichiers de gestion de la Solde des fonctionnaires ont été harmonisés par les services compétents. Et depuis l’accession au pouvoir d’Etat du président Ouattara, l’on a assisté à la rationalisation des concours de la Fonction publique. Des promesses ont été faites dans le sens de la revalorisation et d’une justice au niveau des salaires des travailleurs de la Fonction publique. Des vérifications ont été faites du point de vue de l’authenticité des diplômes des travailleurs de la Fonction publique dans l’optique d’un assainissement. De nombreuses autres mesures ont été prises pour un appareil étatique plus fort.
COULIBALY Zoumana