Ils sont au nombre 20 593 candidats à frapper aux portes des collèges, dans la région de Bouaké. Soit 5 456 élèves pour la Direction de l’éducation nationale et de l’enseignement technique 1 de Bouaké (Drenet 1) et 15 137 candidats pour la Direction de l’éducation nationale et de l’enseignement technique 2 de Bouaké.
Au cours de la cérémonie de lancement des épreuves, tenue au groupe scolaire IRDO du quartier Air France 1, l’inspecteur général de l’éducation nationale, Kouadio Kouamé a invité les parents d’élèves à la sérénité. Selon lui, les candidats ne seront pas pénalisés par les perturbations qu’a connues l’année scolaire. « Les parents n’ont pas à s’inquiéter, il n’y a pas un Etat qui veuille envoyer ses enfants à l’abattoir. Les enfants sont évalués sur ce qu’ils ont appris », a indiqué l’envoyé du ministre Kandia Camara. Puis, il a rappelé quelques interdits lors de l’examen. Au nombre desquels, l’usage des téléphones portables, dans les salles d’examen. « Je viens de l’EPP Petit lycée, on a attiré l’attention des surveillants. Les portables sont proscrits dans les salles d’examens. Aussi bien pour les enseignants que pour les candidats. Ce jour là, il faut s’abstenir ce jour là de communiquer. Les informations qui viennent de l’extérieur, sont à écarter. Les enfants ont passé neuf mois, ils ont étudié, il faut les laisser se concentrer pour affronter les épreuves. C’est pourquoi je suis heureux de constater qu’il n’y a pas de parents d’élèves dans aux abords des centres. La sécurité est assurée et tout se passe bien », a-t-il indiqué. Pour directeur régional de Bouaké 1, Kékémo Daniel, 70 % des fraudes ont lieu, par le biais du cellulaire. « Tout se passe bien. Le lancement s’est bien déroulé, tous les surveillants sont à leur poste. Bref ! Toutes les conditions de travail sont réunies pour que l’examen se déroule bien…Les examens doivent être propres et crédibles. Personne ne doit disposer de téléphones portables. 70% de fraude passe par cet outil de communication », a-t-il défendu.
Marcel Konan
A Bouaké
Au cours de la cérémonie de lancement des épreuves, tenue au groupe scolaire IRDO du quartier Air France 1, l’inspecteur général de l’éducation nationale, Kouadio Kouamé a invité les parents d’élèves à la sérénité. Selon lui, les candidats ne seront pas pénalisés par les perturbations qu’a connues l’année scolaire. « Les parents n’ont pas à s’inquiéter, il n’y a pas un Etat qui veuille envoyer ses enfants à l’abattoir. Les enfants sont évalués sur ce qu’ils ont appris », a indiqué l’envoyé du ministre Kandia Camara. Puis, il a rappelé quelques interdits lors de l’examen. Au nombre desquels, l’usage des téléphones portables, dans les salles d’examen. « Je viens de l’EPP Petit lycée, on a attiré l’attention des surveillants. Les portables sont proscrits dans les salles d’examens. Aussi bien pour les enseignants que pour les candidats. Ce jour là, il faut s’abstenir ce jour là de communiquer. Les informations qui viennent de l’extérieur, sont à écarter. Les enfants ont passé neuf mois, ils ont étudié, il faut les laisser se concentrer pour affronter les épreuves. C’est pourquoi je suis heureux de constater qu’il n’y a pas de parents d’élèves dans aux abords des centres. La sécurité est assurée et tout se passe bien », a-t-il indiqué. Pour directeur régional de Bouaké 1, Kékémo Daniel, 70 % des fraudes ont lieu, par le biais du cellulaire. « Tout se passe bien. Le lancement s’est bien déroulé, tous les surveillants sont à leur poste. Bref ! Toutes les conditions de travail sont réunies pour que l’examen se déroule bien…Les examens doivent être propres et crédibles. Personne ne doit disposer de téléphones portables. 70% de fraude passe par cet outil de communication », a-t-il défendu.
Marcel Konan
A Bouaké
