Yamoussoukro – La visite de centres d’examens, mardi, a conduit le préfet de la région du Bélier et de Yamoussoukro, André Assoumou Ekponon, le directeur régional de l'Education nationale, Aboulaye Diacko, et leurs collaborateurs respectifs à N’Dénou, village du département d’Attiégouakro, où ils ont découvert la nouvelle école.
C’est un établissement neuf de neuf classes doté de latrines et d’une école préscolaire qu’ont découvert les autorités administratives et éducatives.
Selon Yobouet Jacques, président du comité de gestion de l'établissement scolaire (COGES), seulement trois instituteurs encadrent les enfants dans cet établissement de trois bâtiments dont un construit par le district autonome de Yamoussoukro et deux par le Programme présidentiel d’urgence (PPU).
« Nous demandons aux autorités de tout mettre en œuvre pour doter ce joyau d’enseignants car pour neuf classes et une maternelle, nous n’avons que trois instituteurs. Il nous faut aussi de l’électricité, de l’eau courante et une clôture ainsi que des logements de maîtres », a plaidé M. Yobouet.
Il a précisé que l’école livrée cette année reçoit des enfants de trois localités voisines, N’dénou, Konankoffikro et Lolobo « qui ont besoin d’un bon et complet encadrement. »
Les autorités ont quant à elles reproché au président du COGES et au chef du village l’abandon de la piste menant à leur village, l’existence de beaucoup d’herbes autour de l’école et le non nivellement de la cour. Toutes choses qui, selon le préfet, relèvent de la volonté des populations à vivre dans un environnement agréable.
(Aip)
zgrp/cmas
C’est un établissement neuf de neuf classes doté de latrines et d’une école préscolaire qu’ont découvert les autorités administratives et éducatives.
Selon Yobouet Jacques, président du comité de gestion de l'établissement scolaire (COGES), seulement trois instituteurs encadrent les enfants dans cet établissement de trois bâtiments dont un construit par le district autonome de Yamoussoukro et deux par le Programme présidentiel d’urgence (PPU).
« Nous demandons aux autorités de tout mettre en œuvre pour doter ce joyau d’enseignants car pour neuf classes et une maternelle, nous n’avons que trois instituteurs. Il nous faut aussi de l’électricité, de l’eau courante et une clôture ainsi que des logements de maîtres », a plaidé M. Yobouet.
Il a précisé que l’école livrée cette année reçoit des enfants de trois localités voisines, N’dénou, Konankoffikro et Lolobo « qui ont besoin d’un bon et complet encadrement. »
Les autorités ont quant à elles reproché au président du COGES et au chef du village l’abandon de la piste menant à leur village, l’existence de beaucoup d’herbes autour de l’école et le non nivellement de la cour. Toutes choses qui, selon le préfet, relèvent de la volonté des populations à vivre dans un environnement agréable.
(Aip)
zgrp/cmas