3 jours pour débattre des efforts à conjuguer afin de venir à bout des trafiquants de drogue et les criminels organisés dans les Etat de la sous-région ouest-africaine. Les autorités centrales et les procureurs sont depuis hier au laboratoire dans la capitale économique de la Côte d’Ivoire. En effet, le réseau des autorités centrales et des procureurs de l’Afrique de l’Ouest mis en place en novembre 2012 à Bamako dans la capitale malienne, tient sa première réunion pour tracer les sillons d’une véritable coopération frontalière entre les pays de l’Afrique occidentale pour freiner le crime organisé sous toutes ses formes. La cérémonie d’ouverture a servi de cadre au directeur de cabinet du Garde des sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l’homme et des Libertés publiques, Fodjo Kadjo Abo, de saluer l’initiative des autorités centrales et des procureurs de se mettre ensemble pour faire front au trafic de drogue, des personnes, à la piraterie sur les eaux et au crime organisé. «Ce sont des fléaux qui menacent notre sous-région devenue la plaque tournante.
C’est pourquoi, cette réunion est très importante. Il s’agit de jeter les bases d’une coopération étroite entre les hautes autorités judiciaires des pays de la sous-région concernés par la lutte contre le trafic des drogues et le crime organisé. Il s’git également de renforcer les capacités des autorités centrales responsables de la rédaction et de la réception des demandes d’entraide judiciaire et d’extradition et de faciliter l’échange des expériences en matière de poursuites contre les fléaux qui troublent notre sommeil», a-t-il estimé. Pour le juge Eliam Potey, membre de la cour de justice de la CEDEAO, le challenge est élevé mais le succès peut être atteint grâce aux efforts conjugués des uns et des autres. C’est pourquoi, il a salué la Côte d’Ivoire qui bien voulu accepter que le conclave se tient sur son sol.
Lacina Ouattara
C’est pourquoi, cette réunion est très importante. Il s’agit de jeter les bases d’une coopération étroite entre les hautes autorités judiciaires des pays de la sous-région concernés par la lutte contre le trafic des drogues et le crime organisé. Il s’git également de renforcer les capacités des autorités centrales responsables de la rédaction et de la réception des demandes d’entraide judiciaire et d’extradition et de faciliter l’échange des expériences en matière de poursuites contre les fléaux qui troublent notre sommeil», a-t-il estimé. Pour le juge Eliam Potey, membre de la cour de justice de la CEDEAO, le challenge est élevé mais le succès peut être atteint grâce aux efforts conjugués des uns et des autres. C’est pourquoi, il a salué la Côte d’Ivoire qui bien voulu accepter que le conclave se tient sur son sol.
Lacina Ouattara
