La ville de San Pedro abrite depuis lundi dernier, la deuxième session plénière de la plateforme de partenariat public privé de la filière café-cacao. Un événement qui réunit à la fois les membres du Conseil du café cacao, les partenaires privés, techniques et financiers de la filière, les représentants des industries chocolatières et exportateurs. Selon Touré Massandjé Litsé, directrice du Conseil du café cacao, par ailleurs présidente de la plateforme de partenariat, à l’ouverture de cette cérémonie, a indiqué qu’il s’agit de créer un cadre d’échanges et de coordination des actions engagées par le secteur public et le secteur privé pour le développement de la filière.
Et de préciser que ces échanges porteront sur l’amélioration des conditions de vie et de travail des communautés productrices de cacao, la mutualisation et l’optimisation de l’utilisation des ressources matérielles, humaines et financières pour adresser les problématiques de la filière. En effet, le programme national de développement durable de la filière café-cacao, le Programme Quantité, Qualité, Croissance, appelé programme 2QC, élaboré en 2009, est en cours d’actualisation et prendra en compte les nouveaux défis tels que la certification, la diversification des sources de revenus des producteurs, a informé Touré Massandjé.
Ajoutant qu’une catégorisation des activités a été menée en vue d’identifier les projets à réaliser en collaboration avec le secteur privé. Et les résultats qui définiront clairement les besoins en matière de formation des producteurs, d’infrastructures socio-économiques dans les zones de production, de matériel végétal, seront présentés en septembre prochain. Touré Massandjé Litsé a toutefois suggéré un co-financement de l’Etat à travers l’organe de gestion de la filière café cacao (conseil du café cacao) et les ressources du secteur privé. Ce, à travers le Fonds d’Investissement Agricole (FIA) et le Fonds d’Investissement en Milieu Rural (FIMR). Le directeur de cabinet du ministre de l’agriculture, Coulibaly Issiaka a suggéré qu’un point soit mis sur la capitalisation des acquis positifs et que des propositions de mesures idoines soient faites pour l’extension de la filière.
Soumba.O
Et de préciser que ces échanges porteront sur l’amélioration des conditions de vie et de travail des communautés productrices de cacao, la mutualisation et l’optimisation de l’utilisation des ressources matérielles, humaines et financières pour adresser les problématiques de la filière. En effet, le programme national de développement durable de la filière café-cacao, le Programme Quantité, Qualité, Croissance, appelé programme 2QC, élaboré en 2009, est en cours d’actualisation et prendra en compte les nouveaux défis tels que la certification, la diversification des sources de revenus des producteurs, a informé Touré Massandjé.
Ajoutant qu’une catégorisation des activités a été menée en vue d’identifier les projets à réaliser en collaboration avec le secteur privé. Et les résultats qui définiront clairement les besoins en matière de formation des producteurs, d’infrastructures socio-économiques dans les zones de production, de matériel végétal, seront présentés en septembre prochain. Touré Massandjé Litsé a toutefois suggéré un co-financement de l’Etat à travers l’organe de gestion de la filière café cacao (conseil du café cacao) et les ressources du secteur privé. Ce, à travers le Fonds d’Investissement Agricole (FIA) et le Fonds d’Investissement en Milieu Rural (FIMR). Le directeur de cabinet du ministre de l’agriculture, Coulibaly Issiaka a suggéré qu’un point soit mis sur la capitalisation des acquis positifs et que des propositions de mesures idoines soient faites pour l’extension de la filière.
Soumba.O