Un centre frontalier d'informations aux commerçants à la frontière entre la Côte d'Ivoire et le Ghana a été officiellement ouvert le jeudi 23 mai. Ce nouveau centre offre des informations pratiques aux commerçants là où ils en ont le plus besoin notamment le poste frontière. Le centre frontalier d'information de Noé répond aux mêmes objectifs que ceux déjà installés aux frontières Benin-Nigeria, Burkina Faso-Ghana, Ghana-Togo et au port de Dakar au Sénégal. Ces centres ont aidé les parties prenantes à identifier avec succès les causes des retards et des tracasseries, et à mener des actions en vue de les réduire considérablement. Benjamin Soro, directeur de cabinet du ministre des Transports ivoirien, inaugurant ce centre a souhaité un accroissement des volumes échangés entre les 2 pays. Le dircab a exprimé le vœu que ce centre soit le pilier pour soutenir les rapports d'échanges et de brassage entre les 2 peuples.
Phillip Carter III, ambassadeur des États-Unis en Côte d'Ivoire, présent à l'inauguration, a indiqué que la croissance économique est un important levier du développement du gouvernement américain en Afrique. «L'initiative des centres frontaliers d'information, lancée en collaboration avec la CEDEAO et d'autres partenaires, illustre notre engagement à travailler de concert avec les pays africains afin de promouvoir le développement et la croissance économique soutenue», a expliqué le diplomate. Situés de part et d’autre de la frontière, ces centres d’information sont gérés par les structures des chargeurs en Côte d'Ivoire et au Ghana. Les centres d’information ont été financés par l’USAID.
FO
Phillip Carter III, ambassadeur des États-Unis en Côte d'Ivoire, présent à l'inauguration, a indiqué que la croissance économique est un important levier du développement du gouvernement américain en Afrique. «L'initiative des centres frontaliers d'information, lancée en collaboration avec la CEDEAO et d'autres partenaires, illustre notre engagement à travailler de concert avec les pays africains afin de promouvoir le développement et la croissance économique soutenue», a expliqué le diplomate. Situés de part et d’autre de la frontière, ces centres d’information sont gérés par les structures des chargeurs en Côte d'Ivoire et au Ghana. Les centres d’information ont été financés par l’USAID.
FO