Bocanda, Soixante-quinze cas de d’abandon scolaire ont été enregistré cette année scolaire (2012-2013) au lycée moderne de Bocanda (centre, région du N’zi), une situation qui inquiète l’administration de ce établissement publique.
Ces cas d’abandon, dont les motifs restent officiellement méconnus, concernent des élèves régulièrement inscrits mais qui n’ont plus fait signe de vie depuis leur inscription, mais aussi des élèves qui ont fait le premier et le deuxième trimestre et qui ont disparu durant le troisième trimestre, ont expliqué des éducateurs lors d’un conseil des classes vendredi.
«Ils ne font pas partie de cas de maladie ni de grossesse », a précisé un éducateurs, Kouamé Ernest, précisant que ces élèves du premier et du second cycle.
Le plus grand nombre d’abandon se situe au premier cycle, qui totalise 64 cas contre 11 pour le second cycle, souligne M. Kouamé, qui estime que "beaucoup de facteurs peuvent expliquer cette situation", notamment le manque de moyens financiers, mais aussi le déficit de logements dans la localité.
Quant à d’autres élèves, "convaincus de leur exclusion après le premier et le deuxième trimestre, ils préfèrent anticiper les choses en abandonnant", ajoute-t-il, suggérant que " quoi qu’il en soit, cette situation préoccupe l’administration du lycée et mérite qu’on s’y penche pour connaitre les vraies raisons de ces abandons scolaires".
(AIP)
Ces cas d’abandon, dont les motifs restent officiellement méconnus, concernent des élèves régulièrement inscrits mais qui n’ont plus fait signe de vie depuis leur inscription, mais aussi des élèves qui ont fait le premier et le deuxième trimestre et qui ont disparu durant le troisième trimestre, ont expliqué des éducateurs lors d’un conseil des classes vendredi.
«Ils ne font pas partie de cas de maladie ni de grossesse », a précisé un éducateurs, Kouamé Ernest, précisant que ces élèves du premier et du second cycle.
Le plus grand nombre d’abandon se situe au premier cycle, qui totalise 64 cas contre 11 pour le second cycle, souligne M. Kouamé, qui estime que "beaucoup de facteurs peuvent expliquer cette situation", notamment le manque de moyens financiers, mais aussi le déficit de logements dans la localité.
Quant à d’autres élèves, "convaincus de leur exclusion après le premier et le deuxième trimestre, ils préfèrent anticiper les choses en abandonnant", ajoute-t-il, suggérant que " quoi qu’il en soit, cette situation préoccupe l’administration du lycée et mérite qu’on s’y penche pour connaitre les vraies raisons de ces abandons scolaires".
(AIP)