Le Cap (Afrique du Sud), La 69ème assemblée générale annuelle de l’Association internationale du transport aérien (IATA) qui se tient de dimanche à mardi au Cap (Afrique du Sud), est la plateforme rêvée pour les compagnies et différents opérateurs du transport aérien, de présenter leurs produits et performances, en vue d’étendre leurs activités, constate l’AIP.
Cette opération de charme a commencé déjà dimanche, dès l’enregistrement des délégués et autres participants à cette rencontre internationale, à travers des cocktails, réceptions et diners sponsorisés par des grandes compagnies ou groupes aériens, le tout soutenu par des présentations.
Ainsi, de l’UATP (Universal Air Travel Plan) au constructeur canadien Bombardier via la compagnie française Airbus, les participants, notamment les nombreux journalistes venus des quatre coins du monde, sont littéralement noyés par le programme très chargé de l’Assemblée générale.
Les points presse, conférences de presse et réceptions se succèdent, dans un environnement global pluvieux et neigeux, autour du CTICC (Cape Town International Convention Centre), sis à Convention Square 1 Lower Long Street Cape Town 8001 South Africa.
Cette réalité n'occulte pas, cependant, les importantes questions de fond et débats sur le transport aérien qui abondent lors de cette rencontre de haut niveau. Aussi, l'AG est-elle l'opportunité de réfléchir, entre autres, sur le potentiel africain dans le secteur, l'environnement global, les capacités, les infrastructures, la sécurité, les coûts des billets d'avion, les médias sociaux et la crise de la communication, et la politique publique de l'aviation.
L’Association internationale du transport aérien compte 240 compagnies membres comptant pour 84% du transport aérien international. Son siège est à Génève (Suisse). Participent à la 69ème AG annuelle de IATA, quelque 700 représentants des compagnies, décideurs et partenaires, ainsi que plusieurs dizaines de journalistes spécialisés dans les questions de l’aviation issus de tous les continents.
Un fait notable, toutefois, dans cette rencontre annuelle qui se tient pour la 2ème fois en terre africaine (après Nairobi, au Kenya en 1991), la quasi inexistence de compagnies aériennes africaines et d'officiels du continent.
Ainsi, à l'ouverture de l'AG, outre le vice-président sud-africain Kgalema Motlanthe et ses ministres de l'Industie et du Tourisme, l'on a noté que la présence du ministre du Transport du Ghana à ce rendez-vous crucial qui planche sur le rôle du transport aérien dans le développement du continent.
(AIP)
cmas
Cette opération de charme a commencé déjà dimanche, dès l’enregistrement des délégués et autres participants à cette rencontre internationale, à travers des cocktails, réceptions et diners sponsorisés par des grandes compagnies ou groupes aériens, le tout soutenu par des présentations.
Ainsi, de l’UATP (Universal Air Travel Plan) au constructeur canadien Bombardier via la compagnie française Airbus, les participants, notamment les nombreux journalistes venus des quatre coins du monde, sont littéralement noyés par le programme très chargé de l’Assemblée générale.
Les points presse, conférences de presse et réceptions se succèdent, dans un environnement global pluvieux et neigeux, autour du CTICC (Cape Town International Convention Centre), sis à Convention Square 1 Lower Long Street Cape Town 8001 South Africa.
Cette réalité n'occulte pas, cependant, les importantes questions de fond et débats sur le transport aérien qui abondent lors de cette rencontre de haut niveau. Aussi, l'AG est-elle l'opportunité de réfléchir, entre autres, sur le potentiel africain dans le secteur, l'environnement global, les capacités, les infrastructures, la sécurité, les coûts des billets d'avion, les médias sociaux et la crise de la communication, et la politique publique de l'aviation.
L’Association internationale du transport aérien compte 240 compagnies membres comptant pour 84% du transport aérien international. Son siège est à Génève (Suisse). Participent à la 69ème AG annuelle de IATA, quelque 700 représentants des compagnies, décideurs et partenaires, ainsi que plusieurs dizaines de journalistes spécialisés dans les questions de l’aviation issus de tous les continents.
Un fait notable, toutefois, dans cette rencontre annuelle qui se tient pour la 2ème fois en terre africaine (après Nairobi, au Kenya en 1991), la quasi inexistence de compagnies aériennes africaines et d'officiels du continent.
Ainsi, à l'ouverture de l'AG, outre le vice-président sud-africain Kgalema Motlanthe et ses ministres de l'Industie et du Tourisme, l'on a noté que la présence du ministre du Transport du Ghana à ce rendez-vous crucial qui planche sur le rôle du transport aérien dans le développement du continent.
(AIP)
cmas
