Yamoussoukro, L’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, en partenariat avec le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement(CIRAD), basé à Montpellier(France), et le Conseil Ouest et Centre africains pour la recherche et le développement agricole(Coraf) tiennent, depuis mardi et ce, jusqu'à jeudi, à Yamoussoukro, une conférence africaine sur l’agriculture, l’alimentation et la nutrition.
Selon les initiateurs de cette première conférence internationale, cette rencontre d'experts et de spécialistes de haut niveau des questions de l'agriculture, de l'alimentation, de la nutrition et des cultures vivrières, vise essentiellement à trouver une interaction entre cultures vivrières et cultures de rente, en vue de satisfaire les besoins alimentaires du continent.
Placée sur le thème "L’agriculture face aux défis de l’alimentation et de la nutrition en Afrique : quels apports de la recherche en zones cotonnières ? ", la conférence analysera plus spécifiquement les résultats de la recherche sur les solutions disponibles ou en perspective, les causes des crises alimentaires de 2008 ainsi que l’évaluation des politiques induites.
Elle examinera également la question de la contribution des systèmes de production, à base de coton dans l’alimentation, l’évolution des demandes alimentaires, les réponses à apporter à cette problématique, de même que la contribution à l’alimentation et à la nutrition des produits locaux.
Aux dires du directeur délégué adjoint à la recherche et à la stratégie du Cirad, Dr. Marcel de Raïssac, l’organisation de cette conférence périodique de la recherche africaine permettra à l’Afrique d’acquérir un rôle plus important dans la formulation de politiques agricoles adaptées et dans leur mise en œuvre.
Selon celui-ci, cette question est d’"une importance capitale pour l’Afrique, les économies des pays africains reposant fortement sur l’agriculture, l’élevage et la pêche". "La crise alimentaire, induite par la flambée des prix mondiaux des produits alimentaires en 2007-2008, rappelle que les performances de l’agriculture doivent être améliorées, à courte échéance", a-t-il appelé.
Une centaine de participants, en provenance de France, des États-Unis, du Canada, du Bénin, du Burkina, du Cameroun, du Ghana, du Sénégal et du Tchad prennent part à cette première conférence africaine, en plus de partenaires institutionnels. Des plénières et sessions figurent au programme des trois jours de réflexion.
(Aip)
zgrp/kkp/nf
Selon les initiateurs de cette première conférence internationale, cette rencontre d'experts et de spécialistes de haut niveau des questions de l'agriculture, de l'alimentation, de la nutrition et des cultures vivrières, vise essentiellement à trouver une interaction entre cultures vivrières et cultures de rente, en vue de satisfaire les besoins alimentaires du continent.
Placée sur le thème "L’agriculture face aux défis de l’alimentation et de la nutrition en Afrique : quels apports de la recherche en zones cotonnières ? ", la conférence analysera plus spécifiquement les résultats de la recherche sur les solutions disponibles ou en perspective, les causes des crises alimentaires de 2008 ainsi que l’évaluation des politiques induites.
Elle examinera également la question de la contribution des systèmes de production, à base de coton dans l’alimentation, l’évolution des demandes alimentaires, les réponses à apporter à cette problématique, de même que la contribution à l’alimentation et à la nutrition des produits locaux.
Aux dires du directeur délégué adjoint à la recherche et à la stratégie du Cirad, Dr. Marcel de Raïssac, l’organisation de cette conférence périodique de la recherche africaine permettra à l’Afrique d’acquérir un rôle plus important dans la formulation de politiques agricoles adaptées et dans leur mise en œuvre.
Selon celui-ci, cette question est d’"une importance capitale pour l’Afrique, les économies des pays africains reposant fortement sur l’agriculture, l’élevage et la pêche". "La crise alimentaire, induite par la flambée des prix mondiaux des produits alimentaires en 2007-2008, rappelle que les performances de l’agriculture doivent être améliorées, à courte échéance", a-t-il appelé.
Une centaine de participants, en provenance de France, des États-Unis, du Canada, du Bénin, du Burkina, du Cameroun, du Ghana, du Sénégal et du Tchad prennent part à cette première conférence africaine, en plus de partenaires institutionnels. Des plénières et sessions figurent au programme des trois jours de réflexion.
(Aip)
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