Agboville - La directrice du centre social d'Agboville s'est inquiétée, dans un entretien avec la presse, de l'avenir des enfants orphelins qui ne pourront certainement pas intégrer les différents orphelinats du pays en 2013, suite à la fermeture de son établissement pour cause de sinistre.
"C'est quasiment impossible pour l'année 2013-2014", a déclaré vendredi Mme Tiémoko Delphine devant la presse locale.
Selon Mme Tiémoko, les mois de mars et de mai sont consacrés à l'enregistrement des demandes des parents d'enfants orphelins et en août, la liste des pensionnaires est arrêtée en vue de leur intégration dans les institutions de Bassam, pour les garçons, et de Bingerville, pour les filles.
Mais, depuis le 04 mars, une violente tornade a emporté la toiture du centre social, obligeant les responsables à déguerpir des lieux.
"Nous n'avons plus de bureau pour travailler", a-t-elle rappelé, relevant qu'entre quatre et six orphelins issus de la zone d'Agboville sont recueillis chaque année par son centre en vue de leur intégration dans les institutions susmentionnées.
Un devis de 25 millions de FCFA arrêté par la direction régionale de la Construction en vue la réhabilitation est disponible, affirme la directrice du centre, lançant un appel aux nouveaux élus d'Agboville pour que le projet connaisse un début d'exécution effective.
Les cas d'orphelins, de viols et de maltraitance d'enfants ne sont plus traités par les services appropriés du centre social, s'est-elle inquiétée.
Dd/kkp/kp
"C'est quasiment impossible pour l'année 2013-2014", a déclaré vendredi Mme Tiémoko Delphine devant la presse locale.
Selon Mme Tiémoko, les mois de mars et de mai sont consacrés à l'enregistrement des demandes des parents d'enfants orphelins et en août, la liste des pensionnaires est arrêtée en vue de leur intégration dans les institutions de Bassam, pour les garçons, et de Bingerville, pour les filles.
Mais, depuis le 04 mars, une violente tornade a emporté la toiture du centre social, obligeant les responsables à déguerpir des lieux.
"Nous n'avons plus de bureau pour travailler", a-t-elle rappelé, relevant qu'entre quatre et six orphelins issus de la zone d'Agboville sont recueillis chaque année par son centre en vue de leur intégration dans les institutions susmentionnées.
Un devis de 25 millions de FCFA arrêté par la direction régionale de la Construction en vue la réhabilitation est disponible, affirme la directrice du centre, lançant un appel aux nouveaux élus d'Agboville pour que le projet connaisse un début d'exécution effective.
Les cas d'orphelins, de viols et de maltraitance d'enfants ne sont plus traités par les services appropriés du centre social, s'est-elle inquiétée.
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