La coordination nationale des enseignants chercheurs et chercheurs (CNEC), section Bouaké, projette une paralysie des cours à l’Université. Du reste, c’est ce qui ressort de la conférence de presse que son secrétaire, le professeur Roger Tro Deho, a animée hier mercredi 06 juin dernier au campus 2. Cette colère contre les gouvernants tire sa source dans le non paiement par l’Etat, de leurs primes de recherche qui s’élèvent à 1,276 milliards de francs Cfa et qui dure depuis six (06) ans.
A cela, viennent s’ajouter les retards des primes de recherche de juin et le montant des heures complémentaires du premier semestre de l’année académique 2012-2013. Selon le conférencier, après plusieurs tentatives pour résoudre leur problème, sans succès, les décideurs veulent les pousser à bout. «A quel bout veut-on les pousser (NDLR : Enseignants). Ne peuvent-ils rien n’obtenir sans entrer en grève ?» S’interroge le professeur.
Dans tous les cas, estime-t-il, les enseignants chercheurs et chercheurs de l’Université Alassane Ouattara, conscient de ce que leur salut dépend d’eux-mêmes voudraient informer les autorités universitaires et gouvernementales ainsi que la communauté nationale de ce qui pourrait advenir dans les tout prochains jours. Tout en prenant des résolutions.
Qui sont entre autre, le sacrifice que doivent prendre les enseignants pour aider à la renaissance de l’Université mais refusant d’être eux-mêmes sacrifiés. La question du système LMD. A en croire le conférencier, si ce système consiste à enseigner, appendre et évaluer autrement, l’Etat de Côte d’Ivoire doit traiter et payer les enseignants autrement.
Les enseignants chercheurs et chercheurs exigent le payement dans un délai raisonnable, les 1,276 milliards de francs représentant les primes de recherche et autre revendications citées plus haut. Subséquemment à ces résolutions, le CNEC, section Bouaké, se «réserve le droit d’utiliser tous les moyens légaux pour se faire payer» si rien n’est fait pour les contenter.
Bosco de Paré
A cela, viennent s’ajouter les retards des primes de recherche de juin et le montant des heures complémentaires du premier semestre de l’année académique 2012-2013. Selon le conférencier, après plusieurs tentatives pour résoudre leur problème, sans succès, les décideurs veulent les pousser à bout. «A quel bout veut-on les pousser (NDLR : Enseignants). Ne peuvent-ils rien n’obtenir sans entrer en grève ?» S’interroge le professeur.
Dans tous les cas, estime-t-il, les enseignants chercheurs et chercheurs de l’Université Alassane Ouattara, conscient de ce que leur salut dépend d’eux-mêmes voudraient informer les autorités universitaires et gouvernementales ainsi que la communauté nationale de ce qui pourrait advenir dans les tout prochains jours. Tout en prenant des résolutions.
Qui sont entre autre, le sacrifice que doivent prendre les enseignants pour aider à la renaissance de l’Université mais refusant d’être eux-mêmes sacrifiés. La question du système LMD. A en croire le conférencier, si ce système consiste à enseigner, appendre et évaluer autrement, l’Etat de Côte d’Ivoire doit traiter et payer les enseignants autrement.
Les enseignants chercheurs et chercheurs exigent le payement dans un délai raisonnable, les 1,276 milliards de francs représentant les primes de recherche et autre revendications citées plus haut. Subséquemment à ces résolutions, le CNEC, section Bouaké, se «réserve le droit d’utiliser tous les moyens légaux pour se faire payer» si rien n’est fait pour les contenter.
Bosco de Paré