Bouaké - Un groupe d’enseignants des écoles primaires catholiques du Diocèse de Bouaké se sont confiés à la presse locale, mercredi, réclamant trois mois d’arriérés de salaires pour l’année scolaire en cours et plusieurs mois pour l’année 2011.
Ces enseignants qui affirment éprouver des difficultés pour avoir un interlocuteur auprès de la direction diocésaine des écoles à cause du problème de bicéphalisme à la tête de leur syndicat qui est soumis à une procédure judiciaire, disent n’avoir pas encore perçu de salaire depuis le démarrage de l’année scolaire 2013/2014.
« C’est un cri de cœur que nous lançons au Président de la République », a déclaré le président du comité ad-hoc du Syndicat national des enseignants catholiques du primaire de Côte d’Ivoire (SYNEPCACI), section Bouaké, Mankambou Beugré Narcisse.
Il souhaite une implication de l’Etat dans la gestion des écoles catholiques, comme cela se faisait par le passé où l’Etat payait, a-t-il rappelér, 80% des salaires des enseignants.
« Nous souhaitons qu’il y ait une bonne gestion des écoles catholiques », a-t-il ajouté, soulignant que des procès relatifs au salaire et des cas de licenciement dont un est encore en cours, ont déjà opposé la direction diocésaine des écoles et quelques personnels enseignants à la Cour d’appel de Bouaké.
Le Diocèse de Bouaké couvre les départements de Bouaké, Botro, Sakassou, M’Bahiakro et Daoukro. Il compte 26 écoles primaires pour près de 150 enseignants, pour une masse salariale estimée à 20 millions de FCFA par mois.
Aux dernières nouvelles, les enseignants ont bénéficié d’un virement d’un mois de salaire, précise-t-on.
nbf/cmas
Ces enseignants qui affirment éprouver des difficultés pour avoir un interlocuteur auprès de la direction diocésaine des écoles à cause du problème de bicéphalisme à la tête de leur syndicat qui est soumis à une procédure judiciaire, disent n’avoir pas encore perçu de salaire depuis le démarrage de l’année scolaire 2013/2014.
« C’est un cri de cœur que nous lançons au Président de la République », a déclaré le président du comité ad-hoc du Syndicat national des enseignants catholiques du primaire de Côte d’Ivoire (SYNEPCACI), section Bouaké, Mankambou Beugré Narcisse.
Il souhaite une implication de l’Etat dans la gestion des écoles catholiques, comme cela se faisait par le passé où l’Etat payait, a-t-il rappelér, 80% des salaires des enseignants.
« Nous souhaitons qu’il y ait une bonne gestion des écoles catholiques », a-t-il ajouté, soulignant que des procès relatifs au salaire et des cas de licenciement dont un est encore en cours, ont déjà opposé la direction diocésaine des écoles et quelques personnels enseignants à la Cour d’appel de Bouaké.
Le Diocèse de Bouaké couvre les départements de Bouaké, Botro, Sakassou, M’Bahiakro et Daoukro. Il compte 26 écoles primaires pour près de 150 enseignants, pour une masse salariale estimée à 20 millions de FCFA par mois.
Aux dernières nouvelles, les enseignants ont bénéficié d’un virement d’un mois de salaire, précise-t-on.
nbf/cmas
