ABIDJAN - Le Front populaire ivoirien (FPI), parti de l’ex président Laurent Gbagbo, exige la libération " immédiate" du leader de sa jeunesse, Justin Koua, arrêté le 7 juin et écroué à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca).
Dans un communiqué transmis vendredi à Xinhua, le FPI "condamne avec force l’enlèvement de Koua Justin" et "exige" sa libération " immédiate".
Le secrétaire national par intérim de la jeunesse du FPI, Justin Koua, a été arrêté le 7 juin alors qu’il participait à une réunion au siège de son parti.
Présenté à un juge d’instruction lundi, il a été inculpé d’" atteinte à la sureté de l’Etat, offense au chef de l’Etat, trouble à l’ordre public et participation à bande armée" et écroué à la Maca mardi.
Le FPI dénonce un "enlèvement crapuleux" qui rappelle, selon lui, "la brutalité et l’illégalité" des procédures accompagnant " le kidnapping" de centaines de partisans de Laurent Gbagbo, notamment "la violation de domicile, l’absence de mandat judiciaire et les exactions contre les innocents".
Le FPI dénonce également une "justice à double vitesse" au profit des "vainqueurs", soulignant qu’aucun militaire ou militant favorable au président Alassane Ouattara n’a fait jusqu’à présent l’objet de procédure judiciaire.
Pour le parti de M. Gbagbo, l’arrestation de ses militants vise son "exclusion" de la vie politique et la mise en place par le gouvernement d’un "contexte de terreur et d’impunité" pour " annihiler l’Etat de droit et la démocratie" et assurer "le retour de la pensée unique".
Le FPI appelle les Ivoiriens à "sauver" leur pays de ce "péril" et interpelle la communauté internationale qui "semble avoir accordé une sorte de blanc-seing au régime Ouattara".
Dans un communiqué transmis vendredi à Xinhua, le FPI "condamne avec force l’enlèvement de Koua Justin" et "exige" sa libération " immédiate".
Le secrétaire national par intérim de la jeunesse du FPI, Justin Koua, a été arrêté le 7 juin alors qu’il participait à une réunion au siège de son parti.
Présenté à un juge d’instruction lundi, il a été inculpé d’" atteinte à la sureté de l’Etat, offense au chef de l’Etat, trouble à l’ordre public et participation à bande armée" et écroué à la Maca mardi.
Le FPI dénonce un "enlèvement crapuleux" qui rappelle, selon lui, "la brutalité et l’illégalité" des procédures accompagnant " le kidnapping" de centaines de partisans de Laurent Gbagbo, notamment "la violation de domicile, l’absence de mandat judiciaire et les exactions contre les innocents".
Le FPI dénonce également une "justice à double vitesse" au profit des "vainqueurs", soulignant qu’aucun militaire ou militant favorable au président Alassane Ouattara n’a fait jusqu’à présent l’objet de procédure judiciaire.
Pour le parti de M. Gbagbo, l’arrestation de ses militants vise son "exclusion" de la vie politique et la mise en place par le gouvernement d’un "contexte de terreur et d’impunité" pour " annihiler l’Etat de droit et la démocratie" et assurer "le retour de la pensée unique".
Le FPI appelle les Ivoiriens à "sauver" leur pays de ce "péril" et interpelle la communauté internationale qui "semble avoir accordé une sorte de blanc-seing au régime Ouattara".