Des victimes et parents de victimes "anti-Gbagbo" ont manifesté hier matin devant le tribunal de première instance du Plateau.
Cette journée d’indignation organisée en collaboration avec l’alliance pour le changement (APC) et les associations des victimes de guerre a permis aux manifestants d’exprimer leur ras-le-bol face à la décision de la Cour pénale internationale (CPI) qu’elles considèrent insultante et provocante a déclaré le vice-président de l’APC, Coulibaly Sié rencontré sur place sur les lieux.
«Toutes les associations officiellement reconnues ont été contactées et la majorité était présente. Il faut souligner que cette cérémonie a vu au-delà des associations la participation de certaines victimes qui ne sont pas des victimes directes mais qui se sont senties concernées par l’appel des victimes, » a ajouté Coulibaly Sié.
Le choix du palais de justice par les manifestants n’est pas le fait du hasard.
« Le palais de la justice ne pouvait être un endroit idéal puisque c’est une affaire purement juridique, » a-t-il insisté, interpellant les autorités ivoiriennes à assumer leurs responsabilités dans cette affaire.
Par ailleurs, il estime qu’en interpellant également la CPI les victimes pourront avoir gain de cause.
«Nous avons dit aux victimes que le procès de Gbagbo égale à une paix durable en Côte d’Ivoire,» a enfin conclu Coulibaly Sié.
Cette journée d’indignation organisée en collaboration avec l’alliance pour le changement (APC) et les associations des victimes de guerre a permis aux manifestants d’exprimer leur ras-le-bol face à la décision de la Cour pénale internationale (CPI) qu’elles considèrent insultante et provocante a déclaré le vice-président de l’APC, Coulibaly Sié rencontré sur place sur les lieux.
«Toutes les associations officiellement reconnues ont été contactées et la majorité était présente. Il faut souligner que cette cérémonie a vu au-delà des associations la participation de certaines victimes qui ne sont pas des victimes directes mais qui se sont senties concernées par l’appel des victimes, » a ajouté Coulibaly Sié.
Le choix du palais de justice par les manifestants n’est pas le fait du hasard.
« Le palais de la justice ne pouvait être un endroit idéal puisque c’est une affaire purement juridique, » a-t-il insisté, interpellant les autorités ivoiriennes à assumer leurs responsabilités dans cette affaire.
Par ailleurs, il estime qu’en interpellant également la CPI les victimes pourront avoir gain de cause.
«Nous avons dit aux victimes que le procès de Gbagbo égale à une paix durable en Côte d’Ivoire,» a enfin conclu Coulibaly Sié.