La volonté du Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan de renouer hier le fil du dialogue avec le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de l’ex-Président Laurent Gbagbo, détenu à la Haye depuis novembre 2011, a été contrariée la veille par le refus de l’ex-parti au pouvoir.
Le Chef du gouvernement ivoirien désirait rencontrer, hier, en fin d’après-midi, le principal parti de l’opposition, dans le cadre du dialogue politique.
Le Fpi qui sort d’une session ordinaire de son Secrétariat général, il y a juste une semaine , a émis mercredi des préalables pour sa participation à la rencontre initiée par le Premier ministre Duncan.
Dans un communiqué transmis mercredi dernier à APA, ‘’le Secrétariat Général prend acte de l’invitation du Premier ministre à la reprise des travaux du dialogue direct’’.
Le Fpi rappelle cependant, qu’il ‘’ a non seulement affiché son désir d’entrer dans le jeu politique, mais il a surtout réaffirmé, dans ce dialogue direct sa ferme volonté de participer aux élections locales de 2013. Malheureusement le pouvoir en a décidé autrement et a organisé ces élections sans le Fpi, partie au dialogue’’.
Sans préjuger de l’issue de ce processus ‘’auquel il adhère pleinement et qu’il souhaite sincèrement positif pour le peuple de Côte d’Ivoire, le Secrétariat Général considère que ce processus devra se poursuivre dans un climat d’apaisement général et de respect mutuel des parties au dialogue’’.
’’ Le Fpi qui attend du Gouvernement qu’il crée sans délai et en toute responsabilité un environnement de dialogue définitivement débarrassé des tares qui le plombent : le climat de terreur savamment entretenu, les enlèvements, emprisonnements et traques continuelles des militants de l’opposition, la pratique scandaleuse de la justice des vainqueurs, et la confiscation inadmissible des médias d’Etat’’, accuse le Secrétariat général.
En définitive, pour le FPI, ‘’ la libération immédiate et sans condition de Koua Justin (ndlr : leader de la jeunesse du Fpi arrêté le 7 juin) et la mise en œuvre effective des points de convergence obtenus lors de la première partie du dialogue politique créeront sans nul doute un environnement propice à la reprise des négociations en ce qu’ils constituent un gage de bonne foi du pouvoir’’.
Selon des sources proches de ce parti, interrogées par APA, en début de soirée, une conférence de presse devrait être prononcée, hier, par la direction du Fpi pour expliquer, davantage, sa position.
Le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan a repris le lundi dernier le dialogue avec les ‘’petits’’ partis politiques de l’opposition dans le cadre de la ‘’décrispation du climat politique’’.
Le Chef du gouvernement ivoirien désirait rencontrer, hier, en fin d’après-midi, le principal parti de l’opposition, dans le cadre du dialogue politique.
Le Fpi qui sort d’une session ordinaire de son Secrétariat général, il y a juste une semaine , a émis mercredi des préalables pour sa participation à la rencontre initiée par le Premier ministre Duncan.
Dans un communiqué transmis mercredi dernier à APA, ‘’le Secrétariat Général prend acte de l’invitation du Premier ministre à la reprise des travaux du dialogue direct’’.
Le Fpi rappelle cependant, qu’il ‘’ a non seulement affiché son désir d’entrer dans le jeu politique, mais il a surtout réaffirmé, dans ce dialogue direct sa ferme volonté de participer aux élections locales de 2013. Malheureusement le pouvoir en a décidé autrement et a organisé ces élections sans le Fpi, partie au dialogue’’.
Sans préjuger de l’issue de ce processus ‘’auquel il adhère pleinement et qu’il souhaite sincèrement positif pour le peuple de Côte d’Ivoire, le Secrétariat Général considère que ce processus devra se poursuivre dans un climat d’apaisement général et de respect mutuel des parties au dialogue’’.
’’ Le Fpi qui attend du Gouvernement qu’il crée sans délai et en toute responsabilité un environnement de dialogue définitivement débarrassé des tares qui le plombent : le climat de terreur savamment entretenu, les enlèvements, emprisonnements et traques continuelles des militants de l’opposition, la pratique scandaleuse de la justice des vainqueurs, et la confiscation inadmissible des médias d’Etat’’, accuse le Secrétariat général.
En définitive, pour le FPI, ‘’ la libération immédiate et sans condition de Koua Justin (ndlr : leader de la jeunesse du Fpi arrêté le 7 juin) et la mise en œuvre effective des points de convergence obtenus lors de la première partie du dialogue politique créeront sans nul doute un environnement propice à la reprise des négociations en ce qu’ils constituent un gage de bonne foi du pouvoir’’.
Selon des sources proches de ce parti, interrogées par APA, en début de soirée, une conférence de presse devrait être prononcée, hier, par la direction du Fpi pour expliquer, davantage, sa position.
Le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan a repris le lundi dernier le dialogue avec les ‘’petits’’ partis politiques de l’opposition dans le cadre de la ‘’décrispation du climat politique’’.