Le nouveau président du conseil régional de Bouaké, Jean Kouassi Abonouan a été installé dans ses fonctions, à l'occasion d'une cérémonie d'investiture organisée jeudi au cinéma le Capitole de Bouaké.
Présidée par le préfet de la région de Gbèkè, Konin Aka, la cérémonie d'installation du président du conseil régional de Gbèkè a vu la présence des élus et cadres de la région, les chefs traditionnels et dignitaires religieux de la localité.
Outre le président du conseil régional et son bureau, 47 conseillers régionaux présents sur les 55 au total ont été présentés à l'assistance.
Le préfet de Bouaké a saisi l'occasion pour inviter tous les cadres ressortissants des quatre départements de Gbèkè (Bouaké, Béoumi Botro et Sakassou) à taire leurs querelles pour s'unir autour du Conseil général, et saisir l'opportunité qui s'offre à eux par le pour développer leur région.
''Sachez tous que mon maître-mot sera le rassemblement, encore le rassemblement, toujours le rassemblement'', a déclaré Jean Abounouan, répondant à l'appel du préfet Konin Aka.
''Je tends la main à tout le monde sans aucune forme de considération, sans exclusion, car je voudrais qu'on puisse vaincre le signe indien qui veut que Bouaké soit marqué par la division entre ses fils et filles'', a-t-il ajouté.
Jean Kouassi Abonouan a indiqué que le conseil régional composé de membres issus du PDCI et de trois autres formations politiques constitue désormais une seule équipe. ''Donnons-nous la main, faisons-nous confiance, nous avons besoin de solidarité, d'unité et de cohésion pour le bien-être de parents et le développement de notre région'', a conseillé le président du Conseil général de Bouaké.
M. Abonouan a par ailleurs rappelé son engagement de faire de l'amélioration des conditions de vie des populations rurales et l'emploi jeunes une de ses priorités.
Le Gbèkè est une des régions qui a subi les affres de la décennie de crise qui a durement frappé la Côte d'Ivoire. Elle connaît un retard dans son développement avec la paupérisation des populations, le dépeuplement notable de la région, la forte régression du secteur industriel, la forte régression du secteur industriel.
On note également un faible niveau d'électrification et d'accès à l'eau potable, ainsi que l’insuffisance du réseau routier, d'infrastructures sanitaires et scolaire.
nam/cmas
Présidée par le préfet de la région de Gbèkè, Konin Aka, la cérémonie d'installation du président du conseil régional de Gbèkè a vu la présence des élus et cadres de la région, les chefs traditionnels et dignitaires religieux de la localité.
Outre le président du conseil régional et son bureau, 47 conseillers régionaux présents sur les 55 au total ont été présentés à l'assistance.
Le préfet de Bouaké a saisi l'occasion pour inviter tous les cadres ressortissants des quatre départements de Gbèkè (Bouaké, Béoumi Botro et Sakassou) à taire leurs querelles pour s'unir autour du Conseil général, et saisir l'opportunité qui s'offre à eux par le pour développer leur région.
''Sachez tous que mon maître-mot sera le rassemblement, encore le rassemblement, toujours le rassemblement'', a déclaré Jean Abounouan, répondant à l'appel du préfet Konin Aka.
''Je tends la main à tout le monde sans aucune forme de considération, sans exclusion, car je voudrais qu'on puisse vaincre le signe indien qui veut que Bouaké soit marqué par la division entre ses fils et filles'', a-t-il ajouté.
Jean Kouassi Abonouan a indiqué que le conseil régional composé de membres issus du PDCI et de trois autres formations politiques constitue désormais une seule équipe. ''Donnons-nous la main, faisons-nous confiance, nous avons besoin de solidarité, d'unité et de cohésion pour le bien-être de parents et le développement de notre région'', a conseillé le président du Conseil général de Bouaké.
M. Abonouan a par ailleurs rappelé son engagement de faire de l'amélioration des conditions de vie des populations rurales et l'emploi jeunes une de ses priorités.
Le Gbèkè est une des régions qui a subi les affres de la décennie de crise qui a durement frappé la Côte d'Ivoire. Elle connaît un retard dans son développement avec la paupérisation des populations, le dépeuplement notable de la région, la forte régression du secteur industriel, la forte régression du secteur industriel.
On note également un faible niveau d'électrification et d'accès à l'eau potable, ainsi que l’insuffisance du réseau routier, d'infrastructures sanitaires et scolaire.
nam/cmas
