Yamoussoukro - En prélude à la réunion des ministres africains et malgache en charge du Transport prévue de mercredi à vendredi à Yamoussoukro, l'Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) et ses partenaires tiennent, lundi, une journée de réflexion sur les problèmes de sécurité et de formation des contrôleurs aériens ainsi que sur d'autres questions non moins importantes.
La journée de la sécurité est une occasion pour les partenaires de donner leur appréciation sur les prestations qu'offre l'ASECNA en termes de services de la navigation aérienne.
Elle est d'une importance pour l'ASECNA qui devra prendre en compte les attentes de ses clients pour une amélioration continue de ses services et prestations.
Cette troisième journée, après 2010 et 2011, est instituée pour servir de cadre d'échanges entre l'ASECNA et ses principaux partenaires que sont International air transport association (IATA), International federation of air traficcontrollers association (IFATCA), International federation of air line pilot association (IFALPA et l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) ), explique-t-on.
L'ASECNA dispose de centres de contrôle de la circulation aérienne basés dans les aéroports internationaux de dessertes dans 18 pays d'Afrique, à Madagascar et en France, indique-t-on.
Dans son adresse, lors de cette rencontre, le DG de l'ASECNA, Amadou Guitteye, a indiqué que la rencontre est une occasion de recevoir des compagnies un feed-back du travail abattu qui "permet de garantir la sécurité dans nos espaces aériens qui sont confiés à l'ASECNA".
"Ce sont nos usagers, nos clients et nous préférons avoir cette écoute clients plutôt que ce que notre propre personnel nous donne comme indications, même si nous n'en doutons pas. Nous préférons que ce soit ceux qui bénéficient des prestations qui disent exactement comment ils les perçoivent", a-t-il dit.
Selon M. Amadou Guitteye, la prolifération d'oiseaux, la divagation d'animaux et même d'hommes dans les aéroports sont autant de problèmes sécuritaires pour lesquels il y a un besoin de coordination entre les municipalités, les services publics de l'Etat, les gestionnaires de l'aéroport, des compagnies aériennes et les fournisseurs de services tels que l'ASECNA.
Il y a lieu de se mettre régulièrement autour d'une table pour voir quels sont les problèmes qui frappent les plateformes aéroportuaires, a ajouté le DG de l'ASECNA qui relève dans l'espace du Sahel des préoccupations graves de sécurité et de sureté avec la présence de terroristes.
"Il faudra encore beaucoup plus de vigilance pour protéger nos aéroports, afin qu'ils ne servent pas de transit à des terroristes et à des narcotrafiquants", a-t-il prévenu.
(Aip)
La journée de la sécurité est une occasion pour les partenaires de donner leur appréciation sur les prestations qu'offre l'ASECNA en termes de services de la navigation aérienne.
Elle est d'une importance pour l'ASECNA qui devra prendre en compte les attentes de ses clients pour une amélioration continue de ses services et prestations.
Cette troisième journée, après 2010 et 2011, est instituée pour servir de cadre d'échanges entre l'ASECNA et ses principaux partenaires que sont International air transport association (IATA), International federation of air traficcontrollers association (IFATCA), International federation of air line pilot association (IFALPA et l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) ), explique-t-on.
L'ASECNA dispose de centres de contrôle de la circulation aérienne basés dans les aéroports internationaux de dessertes dans 18 pays d'Afrique, à Madagascar et en France, indique-t-on.
Dans son adresse, lors de cette rencontre, le DG de l'ASECNA, Amadou Guitteye, a indiqué que la rencontre est une occasion de recevoir des compagnies un feed-back du travail abattu qui "permet de garantir la sécurité dans nos espaces aériens qui sont confiés à l'ASECNA".
"Ce sont nos usagers, nos clients et nous préférons avoir cette écoute clients plutôt que ce que notre propre personnel nous donne comme indications, même si nous n'en doutons pas. Nous préférons que ce soit ceux qui bénéficient des prestations qui disent exactement comment ils les perçoivent", a-t-il dit.
Selon M. Amadou Guitteye, la prolifération d'oiseaux, la divagation d'animaux et même d'hommes dans les aéroports sont autant de problèmes sécuritaires pour lesquels il y a un besoin de coordination entre les municipalités, les services publics de l'Etat, les gestionnaires de l'aéroport, des compagnies aériennes et les fournisseurs de services tels que l'ASECNA.
Il y a lieu de se mettre régulièrement autour d'une table pour voir quels sont les problèmes qui frappent les plateformes aéroportuaires, a ajouté le DG de l'ASECNA qui relève dans l'espace du Sahel des préoccupations graves de sécurité et de sureté avec la présence de terroristes.
"Il faudra encore beaucoup plus de vigilance pour protéger nos aéroports, afin qu'ils ne servent pas de transit à des terroristes et à des narcotrafiquants", a-t-il prévenu.
(Aip)
