Lors d’une table ronde organisée, la semaine dernière sur l’eau potable, par le gouvernement ivoirien, des bailleurs de fonds publics ont promis accorder environ 392 millions de dollars à la Côte d’Ivoire pour la réalisation, l’entretien et l’amélioration d’infrastructures hydrauliques.
En effet, après cinquante-trois années d’indépendance, en Côte d’Ivoire, de nombreuses localités « ne disposent pas encore d’un système public de distribution d’eau potable ». Pire encore, dans le milieu rural, selon le premier ministre ivoirien, plus de huit milles points d’eau villageois sont à construire, afin de réduire le déficit en la matière.
L’insuffisance d’infrastructures, qu’elles soient hydrauliques ou autres, est une des caractéristiques phares des pays en développement. La Côte d’Ivoire, à l’image de ses pairs, en paie très fortement le prix. Par exemple, de nombreuses maladies liées à l’eau, notamment le choléra, affectent souvent sa population, faute d’eau potable et parfois aussi, parce que le matériel utilisé pour la traiter est usé.
Or, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, l’approvisionnement en eau sûre et l’assainissement sont essentiels pour réduire l’impact, par exemple, du choléra et des autres maladies à transmission hydrique.
Ainsi, les conclusions de la table ronde, à savoir, les promesses financières ci-dessus évoquées, se présentent comme un moyen de lutte, pour l’Etat et ses partenaires, contre l’insuffisance de la distribution d’eau potable sur tout le territoire national.
Somme toute, ces investissements contribueront à réduire le pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à de l’eau assainie. Pour finir, afin d’affiner les estimations budgétaires et prioriser les projets, une seconde rencontre est prévue, au mois de décembre, entre les bailleurs de fonds et le gouvernement ivoirien.
En effet, après cinquante-trois années d’indépendance, en Côte d’Ivoire, de nombreuses localités « ne disposent pas encore d’un système public de distribution d’eau potable ». Pire encore, dans le milieu rural, selon le premier ministre ivoirien, plus de huit milles points d’eau villageois sont à construire, afin de réduire le déficit en la matière.
L’insuffisance d’infrastructures, qu’elles soient hydrauliques ou autres, est une des caractéristiques phares des pays en développement. La Côte d’Ivoire, à l’image de ses pairs, en paie très fortement le prix. Par exemple, de nombreuses maladies liées à l’eau, notamment le choléra, affectent souvent sa population, faute d’eau potable et parfois aussi, parce que le matériel utilisé pour la traiter est usé.
Or, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, l’approvisionnement en eau sûre et l’assainissement sont essentiels pour réduire l’impact, par exemple, du choléra et des autres maladies à transmission hydrique.
Ainsi, les conclusions de la table ronde, à savoir, les promesses financières ci-dessus évoquées, se présentent comme un moyen de lutte, pour l’Etat et ses partenaires, contre l’insuffisance de la distribution d’eau potable sur tout le territoire national.
Somme toute, ces investissements contribueront à réduire le pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à de l’eau assainie. Pour finir, afin d’affiner les estimations budgétaires et prioriser les projets, une seconde rencontre est prévue, au mois de décembre, entre les bailleurs de fonds et le gouvernement ivoirien.