Le cortège du Directeur général de l'Autorité du Désarmement, de la Démobilisation et de la Réintégration (ADDR) des ex-combattants, Fidèle Sarassoro a été attaqué lundi, faisant un mort dans les rangs des gendarmes chargés d'assurer sa sécurité.
Au cours d'une conférence de presse dans un grand hôtel de Korhogo (633 km au Nord d'Abidjan), le ministre de la justice, des droits de l'homme et des libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly s'est incliné devant la mémoire du défunt.
M. Couliblay qui faisait le point de l'organisation de la visite d'Etat du Président, Alassane Ouattara dans la localité de Sinématiali le 6 juillet prochain, a déploré cet ''incident'' et invité les uns et autres à la retenue.
L'attaque qui a fait également au moins deux ''blessés graves'' a été perpétrée sur l'axe Kong-Ferkéssédougou dans l'extrême Nord du pays, alors que M. Sarassoro se rendait à Kong pour une cérémonie de sa structure en compagnie de plusieurs autres personnalités.
Le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara entreprendra à partir de mardi une visite d'Etat d'une semaine dans le district des Savanes qui compte trois régions. Celles de Poro (Korhogo), Tchologo (Ferkéssédougou) et Bagoué (Boundiali).
Des ex-démobilisés de Bouaké (Centre-Nord) et de Man (Ouest) ont bruyamment manifesté respectivement en avril et en juin pour réclamer leur prise en compte par le gouvernement après s'être engagés dans les combats en Côte d'Ivoire.
L'Etat ivoirien a besoin de 85 milliards de fcfa pour la réintégration de 64 500 ex-combattants et assimilés de la violente crise qui a secoué la Côte d'Ivoire pendant la dernière décennie.
Sur cet effectif, 6500, soit près de 10%, devront intégrer l'administration et ses démembrements notamment la douane et la garde pénitentiaire.
''Le reste ira dans le privé'', a avait déclaré en avril, le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan, ajoutant que les prévisions de 2013 pour la réintégration tournent autour de 30 000 personnes.
La gestion des ex-combattants et assimilés est confiée, à l'Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration (ADDR), dirigée par Fidèle Sarassoro.
Au cours d'une conférence de presse dans un grand hôtel de Korhogo (633 km au Nord d'Abidjan), le ministre de la justice, des droits de l'homme et des libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly s'est incliné devant la mémoire du défunt.
M. Couliblay qui faisait le point de l'organisation de la visite d'Etat du Président, Alassane Ouattara dans la localité de Sinématiali le 6 juillet prochain, a déploré cet ''incident'' et invité les uns et autres à la retenue.
L'attaque qui a fait également au moins deux ''blessés graves'' a été perpétrée sur l'axe Kong-Ferkéssédougou dans l'extrême Nord du pays, alors que M. Sarassoro se rendait à Kong pour une cérémonie de sa structure en compagnie de plusieurs autres personnalités.
Le Chef de l'Etat, Alassane Ouattara entreprendra à partir de mardi une visite d'Etat d'une semaine dans le district des Savanes qui compte trois régions. Celles de Poro (Korhogo), Tchologo (Ferkéssédougou) et Bagoué (Boundiali).
Des ex-démobilisés de Bouaké (Centre-Nord) et de Man (Ouest) ont bruyamment manifesté respectivement en avril et en juin pour réclamer leur prise en compte par le gouvernement après s'être engagés dans les combats en Côte d'Ivoire.
L'Etat ivoirien a besoin de 85 milliards de fcfa pour la réintégration de 64 500 ex-combattants et assimilés de la violente crise qui a secoué la Côte d'Ivoire pendant la dernière décennie.
Sur cet effectif, 6500, soit près de 10%, devront intégrer l'administration et ses démembrements notamment la douane et la garde pénitentiaire.
''Le reste ira dans le privé'', a avait déclaré en avril, le Premier Ministre Daniel Kablan Duncan, ajoutant que les prévisions de 2013 pour la réintégration tournent autour de 30 000 personnes.
La gestion des ex-combattants et assimilés est confiée, à l'Autorité pour le Désarmement, la Démobilisation et la Réintégration (ADDR), dirigée par Fidèle Sarassoro.