L’Asec mimosas et le groupe SIFCA ont reconduit, samedi dernier, le contrat de partenariat qui les lie depuis 25 ans. A l’occasion de ce renouvellement à Sol béni, Me Roger Ouégnin, PCA du club, a dévoilé ses nouvelles ambitions pour les Jaune et Noir et le football ivoirien. L’ambition de l’avocat- président est de rendre de nouveau l’Asec mimosas compétitive. Selon lui, le club doit disposer des meilleurs joueurs ivoiriens pour son équipe professionnelle afin de pouvoir remporter d’autres titres nationaux et internationaux. Cela passe par la formation des joueurs de talent comme ceux que la Côte d’Ivoire et le monde entier ont connus à partir de 1999. En tout cas, Me Roger Ouégnin veut réussir cet autre challenge. C’est tout le sens partenariat nouveau.
Cette fois-ci, l’académie Mimosifcom sera financée à 100% par le partenaire financier.
Conséquence immédiate, le PCA de l’Asec mimosas a cédé la présidence du conseil d’administration de l’académie à Pierre Billon. Histoire de permettre au partenaire de s’impliquer à fond. Ce dernier en aura la gestion comptable.
Ces nouvelles dispositions répondent au souci de retrouver une vraie académie vu la rude concurrence opposée à l’Asec sur le terrain de la formation. "Nous sommes victimes du succès qu’a connu l’Académie Mimosifcom. Nous sommes aujourd’hui concurrencés par des centres de formation ici-même et en Europe. Le pays est pillé de ses meilleures graines", a-t-il soutenu en faisant allusion au recrutement d’enfants de 12 à 14 ans par des agents au profit du Qatar qui organisera le Mondial 2022 de football. Pour Me Roger Ouégnin, c’est une grosse perte pour la Côte d’Ivoire.
Le choix opéré va non seulement permettre d’avoir de bons joueurs au service de l’Asec mais aussi des Eléphants de Côte d’Ivoire.
L’autre ambition du PCA de l’Asec est de développer Sol béni, le temple des Mimos, qui dispose déjà d’un hôtel et d’espaces mais surtout de le rentabiliser. Pour y arriver, il faut des professionnels dans les domaines ciblés. C’est pourquoi il a initié un processus de formation des travailleurs. Des techniciens de football, des kinés, des informaticiens, des jardiniers, des restaurateurs et même des vigiles ont été formés.
Me Roger Ouégnin a révélé que le club projette la construction d’un stade de compétition qui va permettre à l’Asec de jouer ses matches à Sol béni.
La communication étant un vecteur très important, le club n’a pas hésité à y investir. Le club dispose aujourd’hui d’une radio (Radio JN) et depuis belle lurette d’un journal. Une station de télévision est en vue. Tout le sens de ce qu’il a dit récemment lors de la signature du partenariat : « Ce qui va arriver à l’Asec sera « grave » ».
Ephrem Touboui
Cette fois-ci, l’académie Mimosifcom sera financée à 100% par le partenaire financier.
Conséquence immédiate, le PCA de l’Asec mimosas a cédé la présidence du conseil d’administration de l’académie à Pierre Billon. Histoire de permettre au partenaire de s’impliquer à fond. Ce dernier en aura la gestion comptable.
Ces nouvelles dispositions répondent au souci de retrouver une vraie académie vu la rude concurrence opposée à l’Asec sur le terrain de la formation. "Nous sommes victimes du succès qu’a connu l’Académie Mimosifcom. Nous sommes aujourd’hui concurrencés par des centres de formation ici-même et en Europe. Le pays est pillé de ses meilleures graines", a-t-il soutenu en faisant allusion au recrutement d’enfants de 12 à 14 ans par des agents au profit du Qatar qui organisera le Mondial 2022 de football. Pour Me Roger Ouégnin, c’est une grosse perte pour la Côte d’Ivoire.
Le choix opéré va non seulement permettre d’avoir de bons joueurs au service de l’Asec mais aussi des Eléphants de Côte d’Ivoire.
L’autre ambition du PCA de l’Asec est de développer Sol béni, le temple des Mimos, qui dispose déjà d’un hôtel et d’espaces mais surtout de le rentabiliser. Pour y arriver, il faut des professionnels dans les domaines ciblés. C’est pourquoi il a initié un processus de formation des travailleurs. Des techniciens de football, des kinés, des informaticiens, des jardiniers, des restaurateurs et même des vigiles ont été formés.
Me Roger Ouégnin a révélé que le club projette la construction d’un stade de compétition qui va permettre à l’Asec de jouer ses matches à Sol béni.
La communication étant un vecteur très important, le club n’a pas hésité à y investir. Le club dispose aujourd’hui d’une radio (Radio JN) et depuis belle lurette d’un journal. Une station de télévision est en vue. Tout le sens de ce qu’il a dit récemment lors de la signature du partenariat : « Ce qui va arriver à l’Asec sera « grave » ».
Ephrem Touboui
