La 39ème session de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) a démarré lundi ses travaux dans la capitale économique ivoirienne avec en ligne de mire le renouvellement des instances de cette organisation.
Le Bureau de l’APF et ceux des différentes commissions de l’APF seront renouvelés lors de cette session. Le Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro, serait pressenti au poste de Président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie en remplacement de son homologue du Burkina Faso, Appolinaire Soungalo Ouattara .
Près de 300 délégués issus de 32 sections, dont une dizaine de Présidents de Parlements prennent part aux travaux qui s’articulent autour du thème: "les parlements au cœur de la construction de la Nation".
Une réunion du réseau des Femmes parlementaires est prévue mardi et sera suivie mercredi et jeudi des travaux des commissions.
La sixième édition du Parlement francophone des Jeunes, se tiendra également au cours de cette 39ème session de l’APF dont l’ouverture officielle est prévue mercredi en présence de Guillaume Kigbafori Soro et du Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf.
Depuis 2005, la Côte d’Ivoire a été suspendue de l’APF, en raison, de l’"illégalité" de son parlement qui n’a pas pu être renouvelé à cette date.
Un an après le retour du pays au sein du "parlement des parlements francophones", abriter un tel rendez-vous de cette institution, revêt pour les autorités ivoiriennes, "une marque de confiance" que les députés francophones vouent à la Côte d’Ivoire.
Les travaux qui s’achèvent vendredi marqueront la fin de la 39ème session de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, organisée en terre ivoirienne, 15 ans après l’édition de 1998 qui s’est tenue sur les bords de la lagune Ebrié.
Créée en mai 1967 à Luxembourg sur proposition de l’ex-président sénégalais, Léopold Sedar Senghor, avec le soutien d’un certain nombre de parlementaires francophones, l’APF qui était alors l’Association internationale des parlementaires de langue française (AIPLF), avait pour mission de "défendre la langue française et d’en assurer le rayonnement".
Aujourd’hui, l’APF se charge d’adopter des résolutions sur des sujets intéressant la communauté francophone dans les domaines politique, économique, social et culturel. Elle collabore avec l’Organisation mondiale du Commerce (OMC), le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) et également avec l’Onusida.
JBK/ls/APA
Le Bureau de l’APF et ceux des différentes commissions de l’APF seront renouvelés lors de cette session. Le Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro, serait pressenti au poste de Président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie en remplacement de son homologue du Burkina Faso, Appolinaire Soungalo Ouattara .
Près de 300 délégués issus de 32 sections, dont une dizaine de Présidents de Parlements prennent part aux travaux qui s’articulent autour du thème: "les parlements au cœur de la construction de la Nation".
Une réunion du réseau des Femmes parlementaires est prévue mardi et sera suivie mercredi et jeudi des travaux des commissions.
La sixième édition du Parlement francophone des Jeunes, se tiendra également au cours de cette 39ème session de l’APF dont l’ouverture officielle est prévue mercredi en présence de Guillaume Kigbafori Soro et du Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf.
Depuis 2005, la Côte d’Ivoire a été suspendue de l’APF, en raison, de l’"illégalité" de son parlement qui n’a pas pu être renouvelé à cette date.
Un an après le retour du pays au sein du "parlement des parlements francophones", abriter un tel rendez-vous de cette institution, revêt pour les autorités ivoiriennes, "une marque de confiance" que les députés francophones vouent à la Côte d’Ivoire.
Les travaux qui s’achèvent vendredi marqueront la fin de la 39ème session de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, organisée en terre ivoirienne, 15 ans après l’édition de 1998 qui s’est tenue sur les bords de la lagune Ebrié.
Créée en mai 1967 à Luxembourg sur proposition de l’ex-président sénégalais, Léopold Sedar Senghor, avec le soutien d’un certain nombre de parlementaires francophones, l’APF qui était alors l’Association internationale des parlementaires de langue française (AIPLF), avait pour mission de "défendre la langue française et d’en assurer le rayonnement".
Aujourd’hui, l’APF se charge d’adopter des résolutions sur des sujets intéressant la communauté francophone dans les domaines politique, économique, social et culturel. Elle collabore avec l’Organisation mondiale du Commerce (OMC), le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) et également avec l’Onusida.
JBK/ls/APA