Le pouvoir actuel redoute le Front populaire ivoirien. Alassane Dramane Ouattara a peur du Fpi. Quand il entend parler du Fpi, son cœur bat la chamade. Il considère et traite ce parti politique comme son ennemi juré. Alors tous ses militants constituent pour lui une cible privilégiée. A tel point qu’il aime bien les traquer et ça l’amuse quand sa soldatesque composée essentiellement d’ex-rebelles des Forces nouvelles (la rébellion armée), des mercenaires maliens et burkinabé et des chasseurs traditionnels de la confrérie dozo, les torture dans leurs nombreux camps éparpillés à travers le pays. Le Fpi étant l’ennemi à abattre à tout prix, Alassane Ouattara ne s’émeut point quand ce sont les partisans de Laurent Gbagbo qui sont assassinés, affamés, contraints à l’exil ou emprisonnés. Ouattara utilise les moyens les plus cyniques contre le Fpi dans l’espoir de l’étouffer et l’empêcher au maximum de s’exprimer. Le pouvoir Ouattara terrorise les militants du Fpi.
Mais pourquoi Alassane Ouattara est si haineux contre le parti de Laurent Gbagbo ? Cela s’explique aisément. Les tenants du pouvoir ne comprennent pas que ce parti décapité, malmené, privé de ressources, continue de vivre. Et ses dirigeants refusent toujours d’aller à la soupe populaire. En réalité ce que Ouattara ignore, c’est que dès sa création, le FPI a privilégié le jeu politique et la formation politique de ses militants. C’est un parti qui a su rassembler tous les Ivoiriens autour de sa philosophie et sa vision pour le pays. Du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est, le Fpi a forgé politiquement le peuple ivoirien. Il ne s’est pas appuyé sur une région particulière pour en faire un bastion. Ce qui fait que tous les fils du pays se retrouvent et se plaisent au Fpi car ce parti ne cultive pas le régionalisme et le tribalisme. Mieux, le Fpi n’a pas engagé les Ivoiriens dans des voies compromettantes de la violence. Des séminaires et colloques initiés sur des sujets d’intérêt, les meetings et marches ont été les voies utilisées pour affronter le parti au pouvoir. Le Fpi s’est donné tout le temps d’apprendre la politique, rien que la politique. Le parti devenu rapidement une véritable école politique, on considérait Laurent Gbagbo comme une bête politique parce qu’il a dérouté toujours l’adversaire. Le Fpi se présentait donc comme une force incontournable qu’il est difficile de neutraliser.
En face, le Rdr n’a rien de toutes ces qualités politiques. Ce parti n’a pas appris à faire de la politique. Depuis sa création, il n’excelle que dans la fraude, la manipulation, le mensonge, le terrorisme et la violence gratuite. On a appris aux militants le fanatisme, le culte de la personne d’Alassane Ouattara sans jamais leur donner une formation politique solide. Que peut-on faire de sérieux avec Alassane Ouattara, Amadou Gon, Amadou Soumahoro, Cissé Bacongo, Hamed Bakayoko qui ne prêchent que la violence ? N’est-ce pas Ouattara qui disait : « Je frapperai ce régime moribond » ou « S’ils veulent qu’on mélange ce pays, on va le mélanger » ou encore : « Je n’attendrai pas 5 ans pour arriver au pouvoir ». Rien que des discours guerriers. Un tel parti sans fondamentaux politiques, intimement mêlé aux rébellions armées et aux coups d’Etat, ne peut qu’avoir peur du Fpi. Parti dont les animateurs se sont toujours consacrés à la réflexion positive.
Benjamin Koré
Mais pourquoi Alassane Ouattara est si haineux contre le parti de Laurent Gbagbo ? Cela s’explique aisément. Les tenants du pouvoir ne comprennent pas que ce parti décapité, malmené, privé de ressources, continue de vivre. Et ses dirigeants refusent toujours d’aller à la soupe populaire. En réalité ce que Ouattara ignore, c’est que dès sa création, le FPI a privilégié le jeu politique et la formation politique de ses militants. C’est un parti qui a su rassembler tous les Ivoiriens autour de sa philosophie et sa vision pour le pays. Du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est, le Fpi a forgé politiquement le peuple ivoirien. Il ne s’est pas appuyé sur une région particulière pour en faire un bastion. Ce qui fait que tous les fils du pays se retrouvent et se plaisent au Fpi car ce parti ne cultive pas le régionalisme et le tribalisme. Mieux, le Fpi n’a pas engagé les Ivoiriens dans des voies compromettantes de la violence. Des séminaires et colloques initiés sur des sujets d’intérêt, les meetings et marches ont été les voies utilisées pour affronter le parti au pouvoir. Le Fpi s’est donné tout le temps d’apprendre la politique, rien que la politique. Le parti devenu rapidement une véritable école politique, on considérait Laurent Gbagbo comme une bête politique parce qu’il a dérouté toujours l’adversaire. Le Fpi se présentait donc comme une force incontournable qu’il est difficile de neutraliser.
En face, le Rdr n’a rien de toutes ces qualités politiques. Ce parti n’a pas appris à faire de la politique. Depuis sa création, il n’excelle que dans la fraude, la manipulation, le mensonge, le terrorisme et la violence gratuite. On a appris aux militants le fanatisme, le culte de la personne d’Alassane Ouattara sans jamais leur donner une formation politique solide. Que peut-on faire de sérieux avec Alassane Ouattara, Amadou Gon, Amadou Soumahoro, Cissé Bacongo, Hamed Bakayoko qui ne prêchent que la violence ? N’est-ce pas Ouattara qui disait : « Je frapperai ce régime moribond » ou « S’ils veulent qu’on mélange ce pays, on va le mélanger » ou encore : « Je n’attendrai pas 5 ans pour arriver au pouvoir ». Rien que des discours guerriers. Un tel parti sans fondamentaux politiques, intimement mêlé aux rébellions armées et aux coups d’Etat, ne peut qu’avoir peur du Fpi. Parti dont les animateurs se sont toujours consacrés à la réflexion positive.
Benjamin Koré