Abidjan, Le nouveau président de l’Union des ressortissants des Etats membres de la CEDEAO en Côte d’Ivoire (UREM-CEDEAO-CI), Al Hassann Demba a été officiellement investi samedi à Abidjan, devant un parterre de personnalités dont des représentants d’ambassades de la sous-région, du ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’étranger, des chefs religieux et coutumiers.
Ces derniers, après avoir fait asseoir trois fois Al Hassann Demba dans un siège paré pour l’occasion, et de lui avoir porté l’écharpe estampillée "Président" et portant le logo de la CEDEAO, lui ont déclaré qu’il est désormais « le président suprême » des ressortissants de cet espace communautaire. Espace d’une superficie de 5,1 millions de km² représentant 17% de la superficie totale du continent, pour quelque 300 millions d’habitants.
Sous le regard de deux huissiers assermentés dont Me Kouamé Marcelin qui a par la suite attesté de la régularité de l’investiture, M. Demba a juré d’œuvrer à l’intégration des peuples de la CEDEAO, notamment par la facilitation de la circulation des biens et des personnes.
« Nous pensons à l’ensemble des Etats membres de la CEDEAO et à ses différentes communautés résidant en Côte d’Ivoire que nous avons désormais la lourde tâche de représenter aux yeux du monde », a affirmé le nouveau président de l’UREM-CEDEAO-CI, dans son discours inaugural.
M. Demba a profité de l’occasion pour rendre hommage aux Présidents des 15 Etats membres de la CEDEAO et particulièrement au président en exercice, l’Ivoirien Alassane Ouattara dont il a salué l’engagement et le combat pour une Afrique émergente.
Aux ressortissants de la CEDEAO résidant en Côte d’Ivoire, il a promis de ne pas décevoir leurs attentes, surtout l’exigence qu’ils lui portent de contribuer au rassemblement de leurs différentes communautés.
« Notre organisation n’est forte que lorsqu’elle est unie et aujourd’hui, elle a besoin d’être forte pour relever les défis du progrès social de ses membres et de promotion de nos différentes cultures », a fait observer M. Demba. Il s’est engagé à apporter sa contribution à la réhabilitation des valeurs du travail, de l’effort, du mérite, du respect des lois qu’il qualifie de « fondement de la personne humaine, la condition du progrès social et d’un développement durable ».
Prônant en outre la tolérance, l’ouverture et la rupture avec « les comportements du passé », il a assuré qu’il remplira scrupuleusement la mission que lui ont confiée les ressortissants de la CEDEAO vivant en terre ivoirienne. Pour ce faire, Al Hassann Demba, tout en reconnaissant que la tâche sera difficile et longue, dit compter sur « les bonnes volontés de ceux qui aiment l’Afrique (…), de ceux qui sont animés par la passion de l’intérêt général ».
(AIP)
cmas
Ces derniers, après avoir fait asseoir trois fois Al Hassann Demba dans un siège paré pour l’occasion, et de lui avoir porté l’écharpe estampillée "Président" et portant le logo de la CEDEAO, lui ont déclaré qu’il est désormais « le président suprême » des ressortissants de cet espace communautaire. Espace d’une superficie de 5,1 millions de km² représentant 17% de la superficie totale du continent, pour quelque 300 millions d’habitants.
Sous le regard de deux huissiers assermentés dont Me Kouamé Marcelin qui a par la suite attesté de la régularité de l’investiture, M. Demba a juré d’œuvrer à l’intégration des peuples de la CEDEAO, notamment par la facilitation de la circulation des biens et des personnes.
« Nous pensons à l’ensemble des Etats membres de la CEDEAO et à ses différentes communautés résidant en Côte d’Ivoire que nous avons désormais la lourde tâche de représenter aux yeux du monde », a affirmé le nouveau président de l’UREM-CEDEAO-CI, dans son discours inaugural.
M. Demba a profité de l’occasion pour rendre hommage aux Présidents des 15 Etats membres de la CEDEAO et particulièrement au président en exercice, l’Ivoirien Alassane Ouattara dont il a salué l’engagement et le combat pour une Afrique émergente.
Aux ressortissants de la CEDEAO résidant en Côte d’Ivoire, il a promis de ne pas décevoir leurs attentes, surtout l’exigence qu’ils lui portent de contribuer au rassemblement de leurs différentes communautés.
« Notre organisation n’est forte que lorsqu’elle est unie et aujourd’hui, elle a besoin d’être forte pour relever les défis du progrès social de ses membres et de promotion de nos différentes cultures », a fait observer M. Demba. Il s’est engagé à apporter sa contribution à la réhabilitation des valeurs du travail, de l’effort, du mérite, du respect des lois qu’il qualifie de « fondement de la personne humaine, la condition du progrès social et d’un développement durable ».
Prônant en outre la tolérance, l’ouverture et la rupture avec « les comportements du passé », il a assuré qu’il remplira scrupuleusement la mission que lui ont confiée les ressortissants de la CEDEAO vivant en terre ivoirienne. Pour ce faire, Al Hassann Demba, tout en reconnaissant que la tâche sera difficile et longue, dit compter sur « les bonnes volontés de ceux qui aiment l’Afrique (…), de ceux qui sont animés par la passion de l’intérêt général ».
(AIP)
cmas