Deux mille (2000) points de vente (kiosques) de produits et services culturels seront bientôt installés sur le territoire national. Une phase pilote d’installation concernera 100 kiosques dont le financement est à hauteur de 130 millions de Fcfa viendra sa seconde phase avec un financement de trois (3) milliards de Fcfa pour les 2000 points de vente. Ce projet entamé depuis deux (2) ans est le fruit d’un partenariat entre la Caisse d’Epargne et le ministère de la Culture et de la Francophonie. Ce financement de l’industrie culturelle qui concerne la discographie, la cinématographie et l’industrie du livre a été officialisé par la signature d’une convention entre les deux parties le 25 juillet au ministère de la Culture et de la Francophonie.
La tutelle des artistes contribuera à hauteur de 10%. Un financement que le ministère tire du Fonds d’aide à la culture.
Cette convention, a souligné le Dg de la Caisse d’Epargne Diabagaté Mamah, n’aura de valeur que si elle est ancrée dans un socle solide. Ledit projet qu’il a qualifié de «viable et de fiable» permettra d’inculquer la culture de l’épargne aux jeunes «désireux de prendre en charge leur devenir».
Sensibilisés et reconvertis pour «vivre dans la transparence», les jeunes qui occuperont les kiosques de produits et services culturels sont issus du marché de la vente de Cd piratés. «On ignorait que cette industrie est capable de créer beaucoup de richesse (…) Nous parviendrons à tenir nos engagements vis-à-vis de la jeunesse qui a un fort désir de se prendre en charge», a précisé Diabagaté Mamah.
Le défi, de l’avis du ministre de la Culture et de la Francophonie Maurice Bandaman, est de «faire mentir ces propos qui disent que la culture ne sait pas créer des richesses». L’installation des kiosques, a expliqué Maurice Bandama, favorisera la proximité et rendra disponible les Cd, livres, tableaux d’arts, etc. «Les produits culturels sont rares parce qu’ils ne sont pas mis en contact avec le consommateur. Ces produits sont piratés parce que loin des consommateurs (…) Il sera mis en place une structure de collecte et d’achat», a annoncé le ministre qui y voit une expérience porteuse.
Parce que, a-t-il démontré, les statistiques font savoir que pour dix (10) Cd vendus par jour, c’est 300.000 Fcfa qui sont comptabilisés dans le mois.
Selon Maurice Bandaman, le bénéfice sera pour les artistes avec l’augmentation de leur droit d’auteur et l’augmentation des droits de reproduction mécaniques (Drm) qui leur permettra de vivre de leur art.
Koné Saydoo
La tutelle des artistes contribuera à hauteur de 10%. Un financement que le ministère tire du Fonds d’aide à la culture.
Cette convention, a souligné le Dg de la Caisse d’Epargne Diabagaté Mamah, n’aura de valeur que si elle est ancrée dans un socle solide. Ledit projet qu’il a qualifié de «viable et de fiable» permettra d’inculquer la culture de l’épargne aux jeunes «désireux de prendre en charge leur devenir».
Sensibilisés et reconvertis pour «vivre dans la transparence», les jeunes qui occuperont les kiosques de produits et services culturels sont issus du marché de la vente de Cd piratés. «On ignorait que cette industrie est capable de créer beaucoup de richesse (…) Nous parviendrons à tenir nos engagements vis-à-vis de la jeunesse qui a un fort désir de se prendre en charge», a précisé Diabagaté Mamah.
Le défi, de l’avis du ministre de la Culture et de la Francophonie Maurice Bandaman, est de «faire mentir ces propos qui disent que la culture ne sait pas créer des richesses». L’installation des kiosques, a expliqué Maurice Bandama, favorisera la proximité et rendra disponible les Cd, livres, tableaux d’arts, etc. «Les produits culturels sont rares parce qu’ils ne sont pas mis en contact avec le consommateur. Ces produits sont piratés parce que loin des consommateurs (…) Il sera mis en place une structure de collecte et d’achat», a annoncé le ministre qui y voit une expérience porteuse.
Parce que, a-t-il démontré, les statistiques font savoir que pour dix (10) Cd vendus par jour, c’est 300.000 Fcfa qui sont comptabilisés dans le mois.
Selon Maurice Bandaman, le bénéfice sera pour les artistes avec l’augmentation de leur droit d’auteur et l’augmentation des droits de reproduction mécaniques (Drm) qui leur permettra de vivre de leur art.
Koné Saydoo
