Joël N’guessan, porte-parole principal du RDR : «Le Président est le seul autorisé à apprécier les ajustements qu’il faut pour aboutir aux résultats que les Ivoiriens attendent de lui»
«Le Président de la République est totalement souverain. Il peut former un gouvernement formé d’une seule personne dans lequel il cumule toutes les fonctions, il fait les aménagements techniques comme il l’entend, quand il le veut et comment il le veut. Cela fait partie des pouvoirs que le peuple de Côte d’Ivoire lui a donnés. Il n’y a donc pas de commentaires à faire sur la formation d’un gouvernement, ni sur un réaménagement technique. En Côte d’Ivoire, sous le temps d’Houphouët-Boigny, il y avait le ministère de l’Energie et des Mines. Si le Président Alassane Ouattara a estimé qu’il fallait faire des aménagements techniques, il n’y a pas à aller chercher à apprécier les choses autrement compte tenu du pouvoir souverain que la Côte d’Ivoire lui a donné. Toute autre analyse n’est que pure élucubration intellectuelle. Le gouvernement est composé de ministres de la Côte d’Ivoire qui sont au service de la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas une affaire de parti politique. M. Adama Toungara remplit ses fonctions, mais le Président est libre de choisir celui à qui il veut confier une fonction. Il faut sortir du débat qui consiste à dire qu’on a enlevé ceci à quelqu’un. On n’a rien enlevé à qui que ce soit. Le Président est le seul autorisé à apprécier les ajustements qu’il faut pour aboutir aux résultats que les Ivoiriens attendent de lui et il n’est pas vrai de dire que le ministre Toungara n’a plus la confiance du Président de la République. Le secteur du pétrole est tellement important que ce serait tromper les Ivoiriens que de croire qu’Adama Toungara n’a plus la confiance du Président Ouattara».
Pr. Angui Pascal, secrétaire général du MFA : «Le Président est dans sa logique»
«Le Président de la République a dit qu’il ferait des réaménagements dans son gouvernement chaque fois qu’il serait nécessaire. Il est donc cette logique et nous n’avons pas de commentaires particuliers à faire. Nous en prenons simplement acte».
Propos recueillis par Olivier Dion
«Le Président de la République est totalement souverain. Il peut former un gouvernement formé d’une seule personne dans lequel il cumule toutes les fonctions, il fait les aménagements techniques comme il l’entend, quand il le veut et comment il le veut. Cela fait partie des pouvoirs que le peuple de Côte d’Ivoire lui a donnés. Il n’y a donc pas de commentaires à faire sur la formation d’un gouvernement, ni sur un réaménagement technique. En Côte d’Ivoire, sous le temps d’Houphouët-Boigny, il y avait le ministère de l’Energie et des Mines. Si le Président Alassane Ouattara a estimé qu’il fallait faire des aménagements techniques, il n’y a pas à aller chercher à apprécier les choses autrement compte tenu du pouvoir souverain que la Côte d’Ivoire lui a donné. Toute autre analyse n’est que pure élucubration intellectuelle. Le gouvernement est composé de ministres de la Côte d’Ivoire qui sont au service de la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas une affaire de parti politique. M. Adama Toungara remplit ses fonctions, mais le Président est libre de choisir celui à qui il veut confier une fonction. Il faut sortir du débat qui consiste à dire qu’on a enlevé ceci à quelqu’un. On n’a rien enlevé à qui que ce soit. Le Président est le seul autorisé à apprécier les ajustements qu’il faut pour aboutir aux résultats que les Ivoiriens attendent de lui et il n’est pas vrai de dire que le ministre Toungara n’a plus la confiance du Président de la République. Le secteur du pétrole est tellement important que ce serait tromper les Ivoiriens que de croire qu’Adama Toungara n’a plus la confiance du Président Ouattara».
Pr. Angui Pascal, secrétaire général du MFA : «Le Président est dans sa logique»
«Le Président de la République a dit qu’il ferait des réaménagements dans son gouvernement chaque fois qu’il serait nécessaire. Il est donc cette logique et nous n’avons pas de commentaires particuliers à faire. Nous en prenons simplement acte».
Propos recueillis par Olivier Dion
