L’annonce a été faite. A la prochaine décade. Faudra plier bagages. Du sable dans l’attiéké. Ça fait mal ! Mais, a-t-on seulement idée des enjeux ? Où trouver un autre emploi ? Par ces temps de vaches chétives. Un gros manque à gagner pour nos employeurs et nous. Surtout que l’argent ne circule plus. Que faire ? Asseyons- nous et discutons. Nous sommes disposés à nous soumettre à l’impôt synthétique. Mais qu’on ne nous enlève pas le pain de la bouche. De grâce !
Jonas BAIKEH
Jonas BAIKEH