Après Ouagadougou le 18 novembre 2011, Yamoussoukro, la capitale politique et administrative de la Côte d’Ivoire bat depuis le jeudi 25 juillet, au rythme du 3ème Traité d’amitié et de coopération Côte d’Ivoire-Burkina Faso.
En prélude à cet évènement, une réunion préparatoire des experts des deux pays a eu lieu du 25 au 27 juillet. Les experts ont planché sur plusieurs sujets de coopération bilatérale, notamment les questions d’ordre politique, diplomatique, économique et sécuritaire ainsi que des projets communs aux deux Etats, en ce qui concerne le développement socioéconomique et la réalisation d’infrastructures. La rencontre a été sanctionnée par une synthèse des résolutions en commission, en attendant la rédaction et l’adoption du projet de rapport final par les deux gouvernements. Elle a été suivie le dimanche 28 juillet, à la Direction du Trésor de Yamoussoukro, d’une rencontre ministérielle sectorielle dirigée par les ministres des Affaires étrangères ivoirienne et burkinabé, Charles Koffi Diby et Djibril Bassolé. Il est également prévu une réunion de Conseil de gouvernements sous la présidence de Daniel Kablan Duncan et Luc Adolphe Tiao, respectivement Premiers ministres de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso. Les chefs de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et burkinabé, Blaise Compaoré, sont attendus aujourd’hui. Ils présideront la Conférence au sommet qui sera sanctionnée par un communiqué conjoint. Le Traité d’Amitié et de Coopération ivoiro-burkinabé vise la «promotion du bien-être des peuples des deux pays». Il est la manifestation de la volonté du peuple ivoirien et du peuple burkinabé de se rapprocher davantage, de raffermir leurs liens séculaires de fraternité et de bon voisinage et d’assurer une exploitation efficiente et conjointe de leurs énormes potentialités.
Ben SYLLA
Envoyé spécial
En prélude à cet évènement, une réunion préparatoire des experts des deux pays a eu lieu du 25 au 27 juillet. Les experts ont planché sur plusieurs sujets de coopération bilatérale, notamment les questions d’ordre politique, diplomatique, économique et sécuritaire ainsi que des projets communs aux deux Etats, en ce qui concerne le développement socioéconomique et la réalisation d’infrastructures. La rencontre a été sanctionnée par une synthèse des résolutions en commission, en attendant la rédaction et l’adoption du projet de rapport final par les deux gouvernements. Elle a été suivie le dimanche 28 juillet, à la Direction du Trésor de Yamoussoukro, d’une rencontre ministérielle sectorielle dirigée par les ministres des Affaires étrangères ivoirienne et burkinabé, Charles Koffi Diby et Djibril Bassolé. Il est également prévu une réunion de Conseil de gouvernements sous la présidence de Daniel Kablan Duncan et Luc Adolphe Tiao, respectivement Premiers ministres de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso. Les chefs de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et burkinabé, Blaise Compaoré, sont attendus aujourd’hui. Ils présideront la Conférence au sommet qui sera sanctionnée par un communiqué conjoint. Le Traité d’Amitié et de Coopération ivoiro-burkinabé vise la «promotion du bien-être des peuples des deux pays». Il est la manifestation de la volonté du peuple ivoirien et du peuple burkinabé de se rapprocher davantage, de raffermir leurs liens séculaires de fraternité et de bon voisinage et d’assurer une exploitation efficiente et conjointe de leurs énormes potentialités.
Ben SYLLA
Envoyé spécial